samedi 24 avril 2010

Triomphe !

Notre deuxieme journee argentine s'est soldee sur le triomphe annonce hier...
Nous avons vaincu le club porteño d'Alumni. Une volee ! 13 a 12 !
Celui de Newman avait prefere declarer forfait au dernier moment alerte par la rumeur persistante d'une horde de soudards ayant devaste les bars de Buenos Aires la nuit precedente... A vrai dire, la folle viree du presidente Marco, de Vania et de Jerome avait suffi...
Mais, pour vous narrer ce match d'anthologie, je laisserai ma plume demain pour la confier a celle acere et legere de notre chroniqueur habituel ; notre Albert Londres des assiettes et du melees : Philippe Toinard.
Il faut dire que la journee a ete memorable.
La levee des corps fut douloureuse et 17 gorets ereintes prirent place dans le bus a 13h. Le vol de nuit nous avait apporte un renfort de 5 T.V.C. ( tres vieux cochons ) : Vincent Seguy, Remi Pallincourt, Arnaud De France, Stephane Durand, alias Gros Con, et notre semillant arriere et co-sponsor Arnaud Corbier.
Mais, un old pig remue de nouveau la queue des qu'il renifle les effluves du pre... Ce fut cette magie olfactive qui nous permit de redresser le groin et de mettre une raclee aux gauchos d'Alumni ; nous precisons qu'Alumni signifie eleves en latin – nous tenions a respecter notre quota d'information culturelle a l'usage de tous les ignorants qui liront ce blog, ainsi que de rappeler que le U de S.C:U:F: signifie universitaire car certains comportements laissent planer un doute sur le niveau d'education des gorets -.
En tout cas, non contents d'avoir prouve notre valeur sur le champ de batailles, nous demontrames, lors de la reception d'apres match, que nous etions grandioses sur tous les terrains : une biere au gosier, un asado a la fourchette, une chanson dans le gosier ou un discours au comptoir ! Malgre la magnifique hospitalite de nos hotes et leurs evidentes qualites d'hidalgos solides et cultives, l'inspiration etait porcine !
Elle restera leur apanache tout au long de cette nuit dans le barrio Palermo de Buenos Aires. Mais ce sont la des prouesses que le verbe en peut pas conter...
Et qui se deroulent encore a l'heure presente ; tres de la noche...
A bientot...
Demain sera encore pire... et sublime.

1 commentaire:

Unknown a dit…

Excellente cette petite tranche de vie porcine !! :-)