Saison 2012-2013
Compte-rendu n°11 : SCUF Vieux Cochons – RUEIL A.C.
2 février 2013 à 13h
Score
: 7-17
Température : Frais et gris
avec quelques gouttes de pluie
Pelouse : Le synthétique
qui brûle de Max Rousié
Participants : 22. Yann
Lavoir ayant senti que ça allait mal se passer a préféré rester avec ses
enfants. A la grande joie de Durand
Spectateurs : Dracul, Honoré et Crochet au coaching polyphonique en 1ère ligne et en 2ème ligne papa Guignard et les jeunes du
SCUF qui ont vu ce match qui aurait été interdit au moins de 18 ans à la télé
tellement c’était moche.
Capitaine : Roch Poletti
parce que c’était le plus apte à occuper cette fonction sans lui-même
déjouer…Malheureusement les 14 autres s’en sont chargé en ne respectant
très peu de ses consignes pourtant simples ou jouant 9 à sa place…
Essais : 1 : J. schwartz
Transformations :1 :
Roch Poletti
Pénalités : S. Dedenis a
voulu prendre ses responsabilités ce WE et a malheureusement échoué dans ses
tentatives. F honoré le savait : les pénalités ça sert à rien…
Drop : Cette rubrique va disparaître. Son apparition
n’était d’ailleurs qu’une anomalie du à une crise d’égoïsme de notre ouvreur à
Sèvres. Ha non : Roch Poletti a transformé l’essai de son ouvreur avec ce
procédé technique. Une semaine de sursis donc pour cette rubrique !
Homme
du match : Au milieu de ces hommes responsables
la semaine mais débiles le samedi entre 13 et 15H, seul thomas Schwartz a fait
honneur à sa réputation de par son jeu et son comportement.
Corbier d’Or : Max
Hospital, qui nous a fait le remake de l’atterrissage de l’albatros dans
Bernard et Bianca de Walt Disney. Résultat : un beau deux contre un qui
finit le nez dans le gazon en plastique…Beurk !
L’adversaire : solidaire, physique et minimaliste en inventivité. C’est
sûr ils auraient pu jouer des jours entiers comme cela, ils ne se seraient
jamais engueulé comme nous ! Mais bon au moins eux ils respectaient le jeu
et les minces consignes de leurs leaders.
Le
match : Il fut dominé de bout en bout par les Vieux Cochons. C’est
le point positif du match.
Avec
des occasions devant en première mi-temps sur des mauls et des pick and go et
des occasions devant et derrière en seconde. La défense fut bonne (à deux
exceptions : deux essais), la conquête aussi malgré quelques lancers ratés
et le jeu au pied efficace sauf à trois reprises en tout début de match (chandelle
ratée, touche pas trouvée et touche directe…).
De
son côté, Rueil marque 3 fois : sur une pénalité vite jouée profitant d’un
mauvais replacement des avants, sur un contre à la suite d’une grosse
hésitation derrière, puis sur une défense naïve sur l’une des deux seules
attaques de leurs arrières, la seconde ayant finie par une interception
permettant au SCUF de sauver l’honneur.
Alors
quoi, que s’est-il passé ?
Tout
comme contre les CSPTT, les VC n’ont pas respecté le jeu, préférant assouvir
leur petit plaisirs personnels.
Cela
a donné des ballons non sécurisés sur les mêlées ouvertes, des départs au ras
tout seul (le plus ridicule étant celui de notre cher arrière séculaire les
bras à moitié levés et qui se fait retourner comme une botte de foin par la
famille Spanghero au boulot dans les champs), des « goinfrages » de
ballons sur des surnombre évidents et des faux trous en pagaille derrière et
une quinzaine de faute pour violation des règles les plus élémentaires de ce
jeu alors même que l’arbitre (excellent(e) par ailleurs) nous avait prévenu.
Et
en plus nous avons joué là où Rueil nous attendait. Ils n’on plus qu’à nous
cueillir et pourrir nos sorties de balle.
Pourtant
dès que nous avons aéré le jeu, nos adversaires étaient à la peine et en danger.
Mais heureusement, la bande de gorets égoïstes et prétentieux que nous étions
leur a permis de s’en sortir.
La
perfection n’étant pas de ce sport et la réalisation étant aléatoire en raison
du choix assumé de ne pas s’entraîner, les VC ont effectué de belles saisons
ces dernières années car leurs intentions de jeu étaient majoritairement les
plus appropriées et les plus justes. Il faut croire cette année que nous ne
sommes plus intéressés par le respect minimum des principes tactiques et
stratégiques du jeu ainsi que de l’envie de jouer avec leurs coéquipiers.
C’est
à se demander si certains de nous ne dorment pas avec un ballon et le serrent
très fort contre eux toute la nuit de peur qu’on le leur prenne…
L’après
match : Au Roi du Café comme s’il ne
s’était rien passé mais plus brièvement qu’auparavant quand même !
Prochaine
Station : à Puteaux sur une île et sur du
synthétique !
by Juju Schwartz
Même le chroniqueur a payé de sa personne !...
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