jeudi 14 février 2013

CR n°11 : SCUF Vieux Cochons - Reuil A.C.

Saison 2012-2013
Compte-rendu n°11 : SCUF Vieux Cochons – RUEIL A.C.
2 février 2013 à 13h

Score : 7-17
Température : Frais et gris avec quelques gouttes de pluie
Pelouse : Le synthétique qui brûle de Max Rousié

Participants : 22. Yann Lavoir ayant senti que ça allait mal se passer a préféré rester avec ses enfants. A la grande joie de Durand

Spectateurs : Dracul, Honoré et Crochet au coaching polyphonique en 1ère ligne et en 2ème ligne papa Guignard et les jeunes du SCUF qui ont vu ce match qui aurait été interdit au moins de 18 ans à la télé tellement c’était moche. 
Capitaine : Roch Poletti parce que c’était le plus apte à occuper cette fonction sans lui-même déjouer…Malheureusement  les 14 autres s’en sont chargé en ne respectant très peu de ses consignes pourtant simples ou jouant 9 à sa place…
Essais : 1 : J. schwartz 
Transformations :1 : Roch Poletti

Pénalités : S. Dedenis a voulu prendre ses responsabilités ce WE et a malheureusement échoué dans ses tentatives. F honoré le savait : les pénalités ça sert à rien…

Drop : Cette rubrique va disparaître. Son apparition n’était d’ailleurs qu’une anomalie du à une crise d’égoïsme de notre ouvreur à Sèvres. Ha non : Roch Poletti a transformé l’essai de son ouvreur avec ce procédé technique. Une semaine de sursis donc pour cette rubrique !
Homme du match : Au milieu de ces hommes responsables la semaine mais débiles le samedi entre 13 et 15H, seul thomas Schwartz a fait honneur à sa réputation de par son jeu et son comportement.

Corbier d’Or : Max Hospital, qui nous a fait le remake de l’atterrissage de l’albatros dans Bernard et Bianca de Walt Disney. Résultat : un beau deux contre un qui finit le nez dans le gazon en plastique…Beurk !


L’adversaire : solidaire, physique et minimaliste en inventivité. C’est sûr ils auraient pu jouer des jours entiers comme cela, ils ne se seraient jamais engueulé comme nous ! Mais bon au moins eux ils respectaient le jeu et les minces consignes de leurs leaders.

Le match : Il fut dominé de bout en bout par les Vieux Cochons. C’est le point positif du match.
Avec des occasions devant en première mi-temps sur des mauls et des pick and go et des occasions devant et derrière en seconde. La défense fut bonne (à deux exceptions : deux essais), la conquête aussi malgré quelques lancers ratés et le jeu au pied efficace sauf à trois reprises en tout début de match (chandelle ratée, touche pas trouvée et touche directe…).
De son côté, Rueil marque 3 fois : sur une pénalité vite jouée profitant d’un mauvais replacement des avants, sur un contre à la suite d’une grosse hésitation derrière, puis sur une défense naïve sur l’une des deux seules attaques de leurs arrières, la seconde ayant finie par une interception permettant au SCUF de sauver l’honneur.
Alors quoi, que s’est-il passé ?
Tout comme contre les CSPTT, les VC n’ont pas respecté le jeu, préférant assouvir leur petit plaisirs personnels.
Cela a donné des ballons non sécurisés sur les mêlées ouvertes, des départs au ras tout seul (le plus ridicule étant celui de notre cher arrière séculaire les bras à moitié levés et qui se fait retourner comme une botte de foin par la famille Spanghero au boulot dans les champs), des « goinfrages » de ballons sur des surnombre évidents et des faux trous en pagaille derrière et une quinzaine de faute pour violation des règles les plus élémentaires de ce jeu alors même que l’arbitre (excellent(e) par ailleurs) nous avait prévenu.
Et en plus nous avons joué là où Rueil nous attendait. Ils n’on plus qu’à nous cueillir et pourrir nos sorties de balle.
Pourtant dès que nous avons aéré le jeu, nos adversaires étaient à la peine et en danger. Mais heureusement, la bande de gorets égoïstes et prétentieux que nous étions leur a permis de s’en sortir.
La perfection n’étant pas de ce sport et la réalisation étant aléatoire en raison du choix assumé de ne pas s’entraîner, les VC ont effectué de belles saisons ces dernières années car leurs intentions de jeu étaient majoritairement les plus appropriées et les plus justes. Il faut croire cette année que nous ne sommes plus intéressés par le respect minimum des principes tactiques et stratégiques du jeu ainsi que de l’envie de jouer avec leurs coéquipiers.
C’est à se demander si certains de nous ne dorment pas avec un ballon et le serrent très fort contre eux toute la nuit de peur qu’on le leur prenne…

L’après match : Au Roi du Café comme s’il ne s’était rien passé mais plus brièvement qu’auparavant quand même !

Prochaine Station : à Puteaux sur une île et sur du synthétique !


by Juju Schwartz









Même le chroniqueur a payé de sa personne !...

Aucun commentaire: