Saison 2013-2014
3ème journée de poule de la 2ème division des Clubs du Samedi
COMPTE – RENDU
N°3 : S.C.U.F. Vieux Cochons - Puteaux
Samedi 12 octobre 2013 à 15h Stade Max Rousié
Samedi 12 octobre 2013 à 15h Stade Max Rousié
Score : 46 – 5, l'en-but des vaillants gorets n'est plus cette terre inviolée et immaculée qu'elle resta pendant les 175 premières minutes de cette saison 2013-2014, la faute à qui ? On y reviendra...
Points
: ne disposant pas d'informations sérieuses
à ce sujet, on ne peut que mettre en doute les racontars qui attribueraient 2
essais à Flo Gallaire (dont un, chose extraordinaire, sur une passe de
Corbier), 2 essais à Vinz qui commence à énerver tout le monde (on y
reviendra), 1 essai à Matt Champion (+ 1 presque essai - sa spécialité – on y
reviendra aussi), 1 essai à Zanca (d'une beauté quasi Christique et ça c'est
bien possible), 1 essai de quelqu'un dont l'identité restera secrète parce que
je ne me souviens plus de qui a pu marquer ce foutu 7ème essai, et enfin 1
essai d'Arnaud Corbier suite à une feinte de passe et un généreux plongeon dans
l'en-but qui fit basculer le match en faveur des gorets (et là, on se rappelle
que depuis les pseudos armes de destruction massives en Irak, tout le monde
peut mentir y compris les Américains dont Arnaud se souvient encore ému du
passage sous ses fenêtres en août 44), du coup et bien, on doute...
Cadre : après avoir enduré la semaine dernière un terrain fait de ce que les gens d'après le périph' appellent « gazon » (et qui ne plaît qu'à un Vania Mrazovac), nous retrouvions notre cher tapis en polypropylène (ou polyéthylène les avis divergent) qui plaît à toutes femmes de rugbyman digne de ce nom : qui chérissent leur homme et leur machine à laver par-dessus tout (un peu de machisme ne fait jamais de mal)
Cadre : après avoir enduré la semaine dernière un terrain fait de ce que les gens d'après le périph' appellent « gazon » (et qui ne plaît qu'à un Vania Mrazovac), nous retrouvions notre cher tapis en polypropylène (ou polyéthylène les avis divergent) qui plaît à toutes femmes de rugbyman digne de ce nom : qui chérissent leur homme et leur machine à laver par-dessus tout (un peu de machisme ne fait jamais de mal)
Participants
: là encore, les informations qui nous
sont parvenues sont contradictoires. D'après un certain Edouard DeR., il y
aurait manqué cruellement de premières lignes dans cette équipe (malgré la
première apparition officielle pour cette année du bon Hospital des deux) ;
en revanche d'après un certain Quentin DeT., ce serait la présence dans la
ligne de ¾ d'un ex-deuxième ligne honteux qui jouerait de surcroît avec des
plaques de titane dans la tête qui constituerait un grave manquement à la
philosophie de ce jeu. Enfin d'après certaines sources, on aurait aperçu
brièvement François Derome sur le terrain, entre la 1er et la 2ème
minute de jeu, mais cette information ne se baserait en réalité que sur la
disparition de 12 boites d'élastoplaste de la trousse à pharmacie gentiment
fournie par Lawrence pour qui c'était également la première apparition
officielle.
Spectateurs
: en théorie, cette ode au rugby de
mouvement devait être officiellement présentée à la 3 jeunes qui aurait eu de
plus, l'insigne honneur de jouer en lever de rideau de leurs glorieux aînés. A
noter, pour les néophytes, que la 3
jeunes est la nouvelle lubie de notre éminent Président Busson qui, toujours dans son délire
« Jean-Michel-Aulassien » et, après une équipe féminine, lance un
2ème équipe 3 avant sans doute, une équipe à 7, puis une équipe à 13, puis une
équipe à 35, puis une équipe de belote ; bref, le gars est en train de
craquer !!!!!!!
Cependant, en raison d'un vil forfait de
la part de leurs adversaires, la 3 jeunes resta chez elle en ce samedi, et les
vieux cochons ne disposèrent que de leur habituelle horde d'ultras, c'est à
dire, coach Dracul (qui par ailleurs trouvait lui la feuille de match
extrêmement cohérente), Steph Dedenis et Doudou DeRos (cutés dans cette
soi-disant feuille de match cohérente) et l'indispensable Xavier
«Statler » Amon (qui se fout royalement des feuilles de match, puisque, de
toute façon, je cite :
« Dracul et Jean-Mi : comprennent rien à ce jeu ! »
Enfin parce qu'il m'en voudrait de ne pas
le citer et surtout pour qu'il dispose d'une preuve à fournir à sa tendre
épouse justifiant son absence du vendredi soir 20h au dimanche matin 14h30,
était présent en vedette américaine au bord du terrain M. Clément Chambaz, dont
les plus érudits se souviennent qu'on avait abandonné son corps meurtri dans un
terrain de rugby Anglais il y a déjà 2 ans et demi et qui réapparaissait en ce
jour pour signaler que si François Derome et Ian Connoly reprenaient le rugby,
y avait pas de raison que lui n'ait pas également droit à son revival un
jour !!!!
Corbier
d’Or : Les
nominations furent légions, et comme je suis resté tard au Roiduc et que
j'étais en compagnie de Jean-Michel G et Pascalo G., je ne me souviens plus
très bien de tout ; on a parlé de Matt Champion, pour un presque essai
avec jeter de ballon par terre avec violence avant d'atteindre l'en-but
pourtant dégagé (ce qui me rappelle cette phrase de Laporte sur Garbajosa, je
cite : « Garbajosa, j'en voudrais pas dans mon restaurant comme serveur,
il casserait toutes les assiettes » et bien Matt, c'est notre Garbajosa à
nous). On a parlé également de Juju, qui nous exhortait dans les vestiaires à
nous rappeler que ce sport était, je cite : « un sport de
combat » et qu'il illustra cette vérité en détruisant le 9 adverse d'un
entrechat avec main sur les yeux et cri de jeune fille je re-cite :
« bouh ! C'est toi le chat ».
Mais finalement et très injustement comme
à son habitude séculaire, le Corbier fut remis à Gregoire (oui
« Greg » son petit prénom c'est Grégoire), the Monster Guenot pour
une charge dévastatrice sur le 15 adverse qui en hommage à notre Titi national
(qu'on embrasse et qui nous manque) ne se défila pas (il avait dû être
transcendé par l'exemple de Juju) et qui, à la surprise générale, et celle de
Greg en particulier brisa l 'élan tsunamièsque habituel de notre géant et
lui fit mordre la poussière plastifiée de Pouchet : trop la Te-Hon comme
auraient dit les jeunes de la fameuse « 3-jeunes ».
Homme
du match : La coupe est pleine, n'en jetez plus !!!
Alors qu'en 3 matches cette année, il
talonne déjà notre Flo Galaire à la « race » des meilleurs marqueurs
d'essais ; à noter qu'à la race des meilleurs marqueurs de presque-essais,
il talonne aussi Matt Champion ( cf compte rendu n°1 ); qu'il a déjà à ce titre un Corbier d'or dans
sa vitrine à trophée, v’là ti pas que « Môôôsieur » Barbe se voit à
présent désigné « Homme du match » par la presse internationale,
parce que « Môôôssieur » Barbe, il se déplace sur le terrain, que
« Môôôssieur » Barbe il plaque, « Môôôssieur » Barbe
organise les mauls, qu'il nettoie dans les rucks, qu'il marque des essais,
qu'il discute intelligemment avec l'arbitre et qu'il porte en touche et pousse
en mêlée : ohohoh !!! « Môôôssieur » Barbe devrait en laisser
aux autres un peu ; on rappelle tout de même que c'est l'amateurisme dans
son acceptation la plus abjecte qui a fait ce club et de nous, les bons joueurs
de rugby d’on ne veut pas (c'est d'ailleurs à ce titre qu'on entend dire dans
les couloirs de Pouchet qu'un certain « Nicolas Paradis » serait le
bienvenu le cas échéant !!!!!!)
Mais au fait, et le match, c'était comment ?
C'était bruyant non ?
Comment résumer cette première mi-temps,
qui vit les cochons ou plutôt qui entendit les cochons beaucoup et souvent.
Peut-être peut-on rappeler que les
cochons commencèrent le match menés au score et qui plus est par un essai, le
premier encaissé de la saison, et cela en raison d'une première partie de
représentation qui restera dans les annales comme la première mi-temps du grand
« portnawaq » (comme disent les jeunes cons de la 3-jeunes) ; qu'on pourrait
résumer par des passes ratés, des réceptions de jeu au pied toujours en
discussion, un engagement physique sporadique, des excès d'individualisme, et
surtout de la parlotte, beaucoup, toujours plus et encore un peu plus s'il vous
plaît !
Résultat, malgré une domination sans
partage, des mauls qui rappelèrent que Bègles-Bordeaux fût champion de France
en son temps avec cette seule tactique, des touches maîtrisées par un Nico
Valenzuela toujours aussi aérien et un Thomas Schwartz toujours aussi
athlétique, des charges dévastatrices de la 2ème DB (Gregonator et Barbapapa),
des franchissements réguliers de la part du Poletti qui parle pas et du Juery
qui parle jamais. Et bien, oui, malgré tout cela, il fallut s'en remettre à
deux exploits individuels signés tout d'abord Maitre Flo le long de sa si
fétiche ligne de touche en débordement et ensuite tout en rage de notre
toujours vert Arnaud « feinte de passe » Corbier pour que les Vieux
Cochons tournent à la pause avec un lamentable 10 à 5 au compteur à faire
rougir.
Mais alors que s'est-il passé à la
mi-temps ?
Là encore, les avis divergent ;
d'après certaines sources, le discours revigorant du capitaine jumelé à un peu
d'eau croupie servie en bouteilles plastiques (pour un apport régulier en
phtalates) seraient à l'origine du sursaut porcin. Honnêtement, j'étais là et
je doute franchement que cette explication soit la bonne !!!!
On dit aussi, enfin un certain Pascalo G.
dit surtout, que l'entrée au centre du terrain d'un 1er centre un
peu golé, avec des cannes de feu et du bagout aurait changé l'équilibre des
forces (voir le cours de l'histoire pour les plus fanatiques) ; là encore
j'étais là et, honnêtement, si c'est du gros monsieur au cardio d'enfant mineur
de fond asthmatique dont on parle, cette explication ne tient là encore pas
debout !
Enfin, certains auraient eu le courage
d'avouer dans les douches brûlantes de Pouchet que l'engueulade passée par
l’aîné du clan Schwartz à son cadet
pendant la pause aurait glacé le sang des auditeurs et que, pour ne pas eux
aussi avoir un jour à s'en prendre une de ce type (par celui qui jusqu'à
présent passé pour le gendre idéal et qui est apparu en ce samedi sous son vrai
jour), les gorets plus par peur pour leur intégrité physique que par soutien à
Juju, se seraient enfin remis dans le sens de la marche dans ce deuxième
acte !
Résultat, sous l'impulsion d'avants
solidaires et organisés autour du fameux Barbe, et du Juvénile Lawrence qui fit
une entrée remarquée, les ¾ retrouvèrent un peu de leurs repères et les gorets
franchirent par 6 fois la ligne d'en-but adverse, sur des actions pas si
« dégueu » que ça, allant du groupé pénétrant victorieux, à la
combinaison d'arrière appelée « bleue » éculée certes mais toujours
efficace, en passant par le fameux la balle à l'aile et Flo ou Matt marqueront
bien... ou pas. Pour terminer par un : « c'est qui ce mec qui court
encore à la 79ème, je vois pas bien d'ici, c'est Nico ou c'est
Thomas ??????? »
Voilà, c'est ainsi que se termina ce
samedi de sport. Les Vieux Cochons glorieux mais néanmoins respectueux d'un
adversaire joueur et bon esprit firent une traditionnelle haie d'honneur, avant
de fumer leur première clope roborative puis de se diriger toilettés vers le Roiduc,
où on put confronter les différentes analyses de match, et là force est de
constater que vraiment je cite : «Dracul et Jean-Mi : comprennent
rien à ce jeu! »
Zanca, chroniqueur stagiaire apostolique et romain.
Pour faire taire les mauvaises langues...
Et de 2 !
Magnifique prestation d'Antoine à la touche... et François après ses 2 minutes d'alibi domestique...
Et de 3 malgré un contre agressif...
Le discours qui remet les gorets en ordre ! Enfin, ça parait moins crédible que la crainte du Schwartz aîné..
Et Greg se fait arracher la balle par un nain gringalet à 10 mètres de la ligne ; la vraie raison de son Corbier.
Mais, l'anecdote de Zanca est tout aussi véridique... et humiliante...
Doudou et Steph Grincheux, bannis, désœuvrés mais admiratifs...
Belle manœuvre sournoise ! On sort les 2 Schwartz d'un coup ! Les gorets sont irrévérencieux !
Dracule, le gourou rugbystique de Xavon !
Flo, définitivement Maître depuis la veille, ça fait rire quand même...
Membres glorieux du SPL ! Cherchez l'erreur...
Puni et déporté pour ne pas avoir avoué sa pubalgie avant le match...
Maxou s'occupe du régime de la relève Hospi...
Les lèches bottes de Dracule... Jamais bannis...
A Thomas la guirlande alors que notre cher Phil Dufaure est venu uniquement en tant que LCA non titulaire..
Comme quoi certains SPL sont plus solidaires que Doudou...
Notre Lolo avant son ablation du tibia ! Objectif tournée ! Big big big smacks the Hook !
Chambaz's smala !!!
Ben le nouveau guide. Zanca est dépité. Même Pascalou le néglige...
Le retour tonitruant de Law. Sur le terrain et jusqu'au bout de la nuit...
Captain nous présente enfin Martin, déjà captain de sa crèche...
Greg, tiens bien ton trophée ! Sinon, même Juju est capable te l'arracher...
Analyses de plus en plus fumeuses...
Le lendemain. Un Laplaze abandonne le terrain. Une Laplaze reprend le flambeau scufiste ! Avec un petit cochon sur le coeur...
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