lundi 24 janvier 2011

le Corbier pour TOTO




Un geste technique misérable travaillé et répété à chaque entrainement... Un travail de fond qui me vaut aujourd'hui cette illustre trophée scufiste...

LES FRERES JACQUES - C'EST CA LE RUGBY
envoyé par floflonovitch. - Clip, interview et concert.

mercredi 19 janvier 2011

L 'ÉQUARRISSEUR de VELIZY élu corbier d'or

COMPTE – RENDU N°6 : SCUF – CENTRALE Samedi 8 Janvier 2011 Score : 18 - 10

COMPTE – RENDU N°6 : SCUF – CENTRALE



Samedi 8 Janvier 2011


Score : 18 - 10
Terrain : sans légionellose
Pelouse : fraîche comme la rosée du matin
Température : rafraîchie par le vent
Supporters : jamais vu autant de monde
Participants : 22
Capitaine : Franck Honoré
Points : 2 essais (Nico et Honoré), 1 transformation (Toinard), 1 pénalité (Dedenis), 1 pénalité (Zanca).
Homme du Match : Les 22
Corbier d’Or : Toinard


La recette du gras double à la Pouchet

Les ingrédients : 22 petits cochons sans origine particulière, qu’ils soient Basques, Bretons ou Picards ne changent rien. Brossez-les dans le sens du poil. Ajoutez un zeste de paroles bien senties. Faites-les courir une dizaine de minutes dans le sens de la largeur d’un terrain synthétique. Laissez-les mariner chacun de leur côté avant le coup d’envoi, laissez mitonner pendant 80 minutes dans une cocotte en ajoutant à mi-cuisson un peu d’eau froide. Pendant ce temps, calez-vous en tribunes, sortez votre plus beau cigare et admirez le résultat.

Une Centrale Electrique

Pour accompagner le gras double à la Pouchet, il n’est pas complètement interdit de sortir le champagne et en ce samedi, il pouvait couler car ce n’est pas tous les jours que l’on peut réussir cette recette qui d’une semaine à l’autre, n’offre pas toujours le même résultat. Il faut prendre en compte le taux d’humidité, l’état du plan de travail, l’humeur du cuisinier, les ustensiles mis à sa disposition. En ce samedi, tous les ingrédients étaient réunis pour que la recette soit réussie même si des doutes pouvaient être émis. Car en face, les Centraliens n’ont pas l’habitude de se laisser bouffer tout cru. En témoignent leurs feuilles de match précédentes dont les scores à la « Ben Ali » ont de quoi refroidir les ardeurs de tous les opposants. Mais voilà, un leader, dictateur de sa poule est fait pour tomber sauf éventuellement en Corée du Nord ou à Cuba. Ca tombe bien, on est chez nous et on leur a prouvé qu’une tête bien faite peut parfois sombrer. Alors certes, ce ne fut pas un naufrage pour eux, loin de là, mais une petite claque histoire de leur rappeler que les opposants ont parfois de la ressource et de la patience pour couper la tête du meneur.

L’art et la manière de gagner avec…la manière…justement

Ce n’est pas le match parfait, mais ça en a tout l’air. Ce qui est certain, c’est que c’est le match de référence. Merde, voilà que je m’exprime comme un footeux. Match de référence parce que nous avons appliqué à la lettre les consignes de cap’taine Honoré. « Ca va se jouer devant, on garde les balles, on avance mais avec du soutien, toujours du soutien ». Et il est vrai que jamais l’un de nous n’est parti sabre en avant défier les Centraliens histoire de gagner 1m50. Non, chaque avancée était réfléchie le ballon toujours bien calé derrière à disposition du neuf, au cas où. Pour résumer, on les a usés même s’il faut reconnaître qu’ils sont durs au mal et qu’ils ne lâchent pas l’affaire en deux temps trois mouvements. Bien au contraire. Ce furent 80 minutes de sape qui finirent par payer car c’est bien connu, à force de défendre sur des regroupements bien amenés, ça crée des brèches dans lesquelles Nico et Franck ne se firent pas prier pour entrer et planter deux belles banderilles qui mirent à mal les Centraliens mais sans jamais cependant leur faire courber l’échine. Le coup de grâce sera en revanche cette pénalité quelques minutes avant le coup de sifflet final qui les prive de bonus défensif. Un petit point qui peut avoir beaucoup de valeur quand ce sera l’heure de faire les comptes. En attendant, nous pouvons nous targuer d’avoir fait tomber le leader. Comme quoi les révolutions et les révoltes ne sont pas toujours là où on les attend. Attention cependant, une belle victoire peut être suivie de désillusions. C’est malheureusement souvent le cas. Il faut dans ce cas, relire la recette et l’appliquer à la lettre.

Philippe Toinard

mardi 11 janvier 2011

En attendant le compte rendu de notre belle victoire sur Centrale...





Le retour tant attendu d'Air Chris autour du terrain avant d'y gambader très bientôt !

Captain Frank raconte comment il a marqué un essai d'ailier. Des mauvaises langues (...) racontent qu'il s'asphyxiait à l'opposé des vaillants avants quand la balle lui arriva par chance entre les mains à cinq mètres de la ligne sans opposition...

dimanche 9 janvier 2011

la victoire en chantant ....




COMPTE – RENDU N°5 : PUC – SCUF Samedi 20 novembre 2010 Score : 10 - 8

COMPTE – RENDU N°5 : PUC – SCUF

Samedi 20 novembre 2010

Score : 10 - 8
Terrain : d’honneur
Pelouse : pas mal pour une banlieusarde
Température : de saison
Supporters : Dracul
Participants : 22
Capitaine : Franck H
Points : 1 essai : Titi, 1 pénalité (Zanca).
Homme du Match : Arnaud C pour avoir défendu jusqu’à s’en faire péter le nez
Corbier d’Or : ???

Copier-coller ou pomme C pomme V
Le crâne ouvert et le sang ruisselant sur son visage, Franck Honoré eut le parfait résumé de ce match, « c’est un copié collé du match de la saison précédente ».
Et il ne croyait pas si bien dire. A date identique, à une semaine près, nous avons perdu de deux points face à ce que l’on peut désormais appeler notre bête noire de la poule et sur un scénario presque identique.
Mais avant de narrer notre incapacité à battre cette équipe, je tenais à vous faire partager une anecdote que vous n’êtes pas nombreux à avoir entendu au fond du vestiaire pendant que nous nous préparions. Il y a là, Manu, Max et votre serviteur. Vient s’asseoir à côté de nous, le plus grand râleur de l’équipe, Stéphane Dedenis qui très sérieusement nous dit « la première, ils ont eu du mal à battre le PUC, le score est très serré ». Face à nos mines interrogatives et quelque peu consternées, nous savons que la première joue le dimanche, nous lui demandâmes de quoi il parlait. Et lui toujours très sérieusement « ben du match de la première, il y a le score sur le tableau d’affichage, ils ont gagné d’un point ». Stéphane, comment te dire 22 – 23, ce n’est pas le score du match, ce sont les numéros des vestiaires !!!!
Voilà, c’est dit, c’est écrit, c’est gravé…vous avez le droit de vous foutre de sa gueule pendant un an et un jour. Mais pas plus parce qu’après, il bougonne, il râle et ça lui fait perdre tous ses moyens sur le terrain.

Maintenant…le match

Je pourrais arrêter là l’écriture du compte-rendu et vous demander de relire celui de l’an passé. Match perdu 7 à 5 chez eux. Match âpre et pourtant match à notre portée. Tout commença de la même manière. Globalement, on monopolise le ballon, mais on a un peu de mal à enchaîner entre les ballons tombés, les mauvais choix…Et en face, force est de reconnaître qu’ils n’ont pas un pack de manchots et qu’ils font mal. En témoignent l’ouverture frontale du capitaine et celle du pizzaiolo de service, Jean-Mi. Champion quittera également le terrain et Corbier y laissera un nez malgré l’intervention de Marc Barritault. A 0 partout, une première pénalité s’offre à nous et comme l’an passé, au même endroit et avec le même vent de travers, le ballon flirte avec le poteau de gauche avant de décider finalement de partir à gauche.
Quelques touches manquées plus tard et encore son lot de ballons tombés, les joueurs du PUC daignent enfin venir chez nous pour nous en planter un premier qui n’a pas le don de nous endormir mais qui n’a pas non plus le don de nous réveiller. On bafouille, on bégaie notre rugby et on commence à l’ouvrir. Chacun commentant la décision de l’autre ce qui a le don d’énerver tout le monde et l’on commence à se déliter.
Une pénalité viendra tout de même redonner une lueur d’espoir très vite éteinte par un second essai du PUC qui à ce moment du match nous laisse tout de même avec le point de bonus défensif. Devons-nous nous en contenter ? A ce stade du match, non, y’a moyen de les battre. Reste à trouver la clé.

Le tournant du match

Il ne reste qu’une poignée de minutes à jouer. Les gros sont dans l’axe et ont vraisemblablement décidé de garder la balle jusqu’à l’essai. Ils pilonnent, tombent, se relèvent, envoient valdinguer tout ce qui ressemble de près ou de loin à un maillot du PUC. Bref, ils vont marquer, ça se voit dans leurs yeux et sur leur visage à cette salive à la commissure des lèvres qui en dit long sur leur rage de vaincre. Ils ne sont qu’à 83 centimètres de la ligne d’en-but et Manu Enriquez s’arrache pour aller marquer. Et là, aussi étrange que cela puisse paraître, l’arbitre refuse l’essai prétextant la présence entre le ballon et la pelouse d’un adversaire. Après visionnage des images, force est de constater qu’il n’y a personne et que l’essai est tout à fait valable mais l’homme en jaune estampillé La Poste refuse de revenir sur sa décision.
Dépité, un cochon n’en est pour autant pas découragé et cette fois, ce sont les 3/4 qui repartent au combat dans un ordre de marche plus efficace qu’en première mi-temps. Si efficace que Titi finit par marquer en coin à la dernière minute de jeu.

Le coup de barre

Non, il ne s’agit pas d’un état de fatigue général mais d’une barre, celle qui relie les deux poteaux. Titi vient de marquer en coin. Quand on dit en coin, c’est vraiment dans le coin, à l’intersection des deux lignes blanches (au même endroit que l’an passé quand nous avions aussi la possibilité de revenir à 7 partout). Zanca porte sur ses épaules tous les espoirs de 22 cochons. Si la balle passe entre les poteaux, le match se termine sur un score nul ce qui ne sera finalement pas démérité. Il se concentre, aspire un bon bol d’air enfin plutôt une bonne bouffée de Marlboro Light du président campé sur le bord du terrain, et tape. Le ballon s’envole très haut et la trajectoire vu de la touche est sublime. C’est évident, le ballon va passer et mettre les équipes à 10 partout. Sur la touche, on commence à lever les doigts, Raph et Dijon en sont persuadés, ils peuvent se taper dans le dos. Et puis, le ballon redescend doucement pour finalement heurter la barre transversale. A ce moment, dans un battement de cils, deux options, ballon rentrant et cul bordé de nouilles ou ballon sortant et honte sur la famille Zanca pour trois générations. Ce sera finalement ballon sortant et des cochons dépités qui rentrent au vestiaire.


Philippe T

COMPTE – RENDU N°4 : RUGBY CELLOIS CHENAYSIEN – SCUF Samedi 23 octobre 2010 Score : 00 - 30

COMPTE – RENDU N°4 : RUGBY CELLOIS CHENAYSIEN – SCUF

Samedi 23 octobre 2010

Score : 00 - 30
Terrain : coincé entre des pavillons et un lycée
Pelouse : verte et grasse
Température : automnale
Supporters : Kinkin
Participants : 22
Capitaine : Franck H
Points : 5 essais : Titi (3), Xavier A et Julien N, 1 transformation (Zanca), 1 pénalité (Zanca).
Homme du Match : Julien N pour premier essai après des mois de disette.
Corbier d’Or : Franck H pour une magnifique passe vrillée en direction de Pascal Augé qui était à ce moment de la partie…juge de touche


La technique de l’essuie-glace

Il faut toujours méfier de plus petit que soi. En l’occurrence, un promu qui fait ce qu’il peut face à des équipes dotées de budgets pharamineux et qui comptent dans leur rang des joueurs ayant évolué dans les hautes sphères du rugby amateur régional. Mais malgré ce passé de prestige, la victoire ne fut pas si facile que cela. En témoigne, le score à la mi-temps : 3 – 0 pour des cochons épuisés d’avoir opté pour la technique de l’essuie-glace. Celle-ci consiste à monopoliser le ballon pendant 40 minutes entre la ligne médiane et la ligne des 22 de l’adversaire mais sans jamais franchir cette dernière et éventuellement entrer le rectangle magique synonyme de points.
Pour être très honnête et pour ceux qui auraient du mal à le croire, les jeunes joueurs du Chesnay ne sont venus chez nous qu’à trois ou quatre reprises pendant 40 minutes et sans jamais être dangereux. De notre côté, nous devions penser que l’herbe verte de leur partie était de terrain était plus agréable à fouler. Si agréable que nous décidâmes de jouer à la passe à dix pendant 40 ans mais sans jamais concrétiser. Le principe est le suivant : les gros avancent, le neuf ouvre, le 10 ouvre sur ses 3/4 qui refusent de pénétrer préférant tenter un retour sur leur 10 qui retrouve son neuf qui retrouve ses gros. Et ainsi de suite sans oublier évidemment son cortège de ballons tombés, d’en-avant, de passes pour le public…etc …Et comme en face, ils étaient plutôt du genre à ne pas se laisser marcher dessus et pas du genre à faire la moindre faute, le tableau d’affichage semblait figer dans le temps. Seul Zanca décida que la plaisanterie avait assez duré et il osa donner l’avantage à ses cochons en les gratifiant d’une pénalité relativement aisée.

15 Cochons qui poussent, ça use, ça use

La seconde mi-temps, vous l’aurez compris sera évidemment beaucoup plus prolifique. Fatigués d’avoir défendu âprement pendant 40 minutes, les adversaires lâchent en seconde mi-temps et les cochons en profitent pour planter 5 essais et glaner au passage le point de bonus offensif.
C’est Julien Noble qui lance les hostilités. Un essai qui a failli lui coûter un Corbier d’Or mais que ses avocats défendront à la barre de la buvette pour finalement l’octroyer au capitaine Honoré. Nous sommes sur leur ligne des 5 mètres et, avouons-le, nous faisons encore un peu l’essuie-glace. Une brèche se forme dans la défense adverse. Votre serviteur change de côté pour un trois-quart qui passe avant contact pour Julien. Ce dernier n’a plus qu’à aller tout droit. Mais non, au lieu de ça, monsieur décide de repiquer intérieur (sans doute voulait t’il marquer plus près des poteaux) où l’attendent plus d’adversaires que de raison. Heureusement, par un dernier coup de rein, il passe la ligne et libère les cochons qui n’ont plus qu’à enquiller le reste. Titi en marquera un quelques minutes plus tard que l’on pourrai qualifier de gaguesque. Xavier tape une transversale pour le 15 adverse qui saute pour se saisir du ballon. A peine l’avait-il entre les mains qu’il se retrouve avec Titi sur le râble qui décide de lui arracher la balle des mains et la déposer aux pieds du dit 15 sur la ligne d’essai.
Vous l’aurez compris, nous sommes une fois encore restés chez eux une bonne trentaine de minutes mais cette fois nous avons marqué. Evidemment, nous aurions pu en planter un ou deux de plus par exemple Ronan aurait pu aplatir une balle qu’il était censé recevoir de Franck à deux mètres de la ligne mais Franck décida de l’envoyer à Pascal Augé qui avait pourtant revêtu son plus beau survêtement histoire de signifier à tout le mode qu’il ne jouait pas mais qu’il assurait la touche. Par deux fois, nous sommes également entré dans l’en-but avec le ballon mais l’arbitre décida qu’un petit doigt adverse s’était scandaleusement immiscé entre la pelouse et le dit ballon. Mention particulière tout de même pour Xavier qui marqua le dernier des cinq essais en interceptant une balle jouée entre le 10 et le 12. Il se dirigea presque en marchant pour planter l’essai. C’est dire si les adversaires à ce moment de la partie semblaient avoir lâcher l’affaire.
0 point encaissé, 0 blessé, 0 joueur perdu en route à l’aller comme au retour, 0 embouteillage en rentrant…que demander de plus ?


Philippe T

lundi 25 octobre 2010

Corbier d'Or du match au Chesnay le 23 octobre 2010

En attendant la prose injuste et sublime de cooking Phil, voici le Corbier d’Or du match du 23 octobre 2010.

Il a été attribué par contumace à Julien pour avoir marqué le premier essai malgré une ÉNORME faute de goût. A 5 mètres de la ligne d’en-but, avec 15 mètres sans adversaire vers l’extérieur, il reprend l’intérieur et marque QUAND MÊME… C’est un homicide contre notre sublime jeu ! Il aurait dû s’excuser à plat ventre et demander à l’arbitre d’annuler l’essai.

Devant l’absence du lauréat, le Corbier fut confié à Captain Franky lui-même cité pour avoir semé notre ailier gauche ( on ne dit pas que c’est Ronan… ), ignoré Antoine Chambaz qui se voyait déjà derrière la ligne et adressé une passe décisive… au juge de touche… C’est le même captain qui réclamait à la mi-temps de ne pas s’isoler et de ne pas adresser de passes sautées…

vendredi 22 octobre 2010

COMPTE – RENDU N°3 : VIEUX COCHONS DU SCUF – ANTONY

COMPTE – RENDU N°3 : VIEUX COCHONS DU SCUF – ANTONY

Samedi 16 octobre 2010

Score : 20 - 17
Terrain : occupé par des enfants en bas âge stimulés par Lawrence
Pelouse : n’en perd pas une miette
Température : couci-couça
Supporters : Dracul, Nivoix
Participants : 23 puis 22 puis 21 puis 22
Capitaine : Zanca
Points : 2 essais (Enriquez et Dufaure), 2 transformations (Zanca), 2 pénalités (Zanca).
Homme du Match : Ronan Henaff.
Corbier d’Or : Crochet pour n’avoir pas su récupérer une passe de Xavier Amon à hauteur…des chaussettes.


Antony…Richard de son prénom

Oui Richard Antony a bel et bien chanté « La Terre Promise », vous savez ce rectangle vert derrière les poteaux dans lequel gros, gras, petit, fluet, grand, maigre sont censés se vautrer pour remporter un match.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Le Déserteur ». Le nôtre samedi s’appelait Marc Langlois parti dépenser le contenu de son livret A que ses parents venaient de lui débloquer au cours de la semaine pour fêter ses 33 ans.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Avec une poignée de terre » mais nous de terre à Pouchet, nous n’en avons pas. Pourtant un goret aime se vautrer dans la terre surtout quand elle est mouillée, boueuse…ça s’appelle de la nostalgie quand Pouchet n’était qu’une vaste étendue de terre puante.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « C’est ma fête » que Laurent Crochet se mit à fredonner quand il fut expulsé par l’arbitre pour avoir quelque peu râlé après une décision de l’homme en jaune.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Donne Moi Ma Chance » que les ailiers chantaient quand ils s’approchaient de la terre promise mais la chance était aujourd’hui du côté des gros qui par deux fois se ruèrent dans l’en-but, Manu en première mi-temps, Dufaure en seconde redonnant au passage 1 point d’avance au tableau d’affichage à quelques secondes de la fin et avant que Zanca ne transforme.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « j’irai pleurer sous la pluie »…c’est ce qu’il restait à faire dans les rangs d’Antony après avoir perdu à la dernière minute de 3 points. Un juste retour des choses quand on sait que l’an passé, ils nous avaient écrabouillé chez eux. Nous étions 16, ils étaient 22 et beaucoup issus de l’équipe 1 & 2 évoluant en fédérale.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Un Ami c’est tout ça »…un ami c’est Chris Nivoix qui deux jours avant de passer au bloc vient saluer ses petits camarades pour les encourager, prendre tous les messages réconfortants de la terre avant l’opération et garder en mémoire jusqu’à son retour sur le terrain, des images de vaillants gorets arrachant les 4 points de la victoire.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Je me suis souvent demandé » pourquoi Florent Gallaire était présent alors que des milliers de manifestants, dix selon la police arpentaient les rues de Paris pour défendre une pseudo retraite que nous n’aurons pas à part Manu Enriquez et Corbier qui ont déjà tous leurs trimestres.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Victoire je t’aime» …la 3e consécutive ce qui nous permet d’occuper une seconde place au classement…du jamais vu depuis bien longtemps.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « A toi de choisir » c’est ce qu’a fait Franck Honoré en ce samedi midi. Il a choisi de ne pas jouer, pour faire tourner dit-il. On dira qu’il aime surtout endosser le rôle ingrat de dirigeant une fois dans l’année. Ah le bonheur de remplir la feuille de match, de payer l’arbitre, de récolter l’argent au Roi du Café pour la cagnotte.
Oui Richard Antony a bel et bien chanté « Les Petits Cochons ». C’était en 1969. A part Corbier et Enriquez, nous n’étions pas nés mais une histoire de cochons allait naître et elle se poursuit en 2010. Ils sont parfois, 16, parfois 20, parfois 22, parfois 40 pour les soirées et ils aiment ce ballon qui ne tourne pas rond.

Enfin, n’oubliez pas que Richard Antony a chanté « ce soir je suis amoureux de ma femme ». Pensez ce soir à le lui dire, ça lui fera plaisir et elle oubliera ainsi que samedi prochain, vous êtes absent pour cause de match dans l’Ouest Parisien.


Et puis pour conclure, Richard Antony a aussi bel et bien chanté « Et je m’en vais » et c’est que je fais à l’instant, je quitte ce compte-rendu pour préparer mon sac.


Philippe Toinard

jeudi 14 octobre 2010

PTT - VC 9 octobre 2010

COMPTE – RENDU N°2 : ASPTT - VIEUX COCHONS DU SCUF

Samedi 9 octobre 2010 à 15h

Score : 12 - 26
Terrain : champ de pâturage bovin dissimulé sur le terrain vague du Polygone
Pelouse : sauvage et aléatoire
Température : caniculaire pour la saison
Supporters : le président en babouches avec le Havane, l’ineffable Dracul et des parieurs expulsés de l’hippodrome voisin
Participants : 15 + 7 impacts players
Capitaine : Franck Honoré
Points : 4 essais des rapetous capillaires (Champion 2, Zanca et Titi), 3 transformations (Zanca)
Homme du Match : Xavier Amon à l’unanimité des porcins et des postiers
Corbier d’Or : Georges qui mord le genou d’un postier libidineux dans un ruck et reçoit en retour une gifle mémorable ; ou l’histoire éternelle des gazelles qui se mêlent aux explications d’avants sans en connaître les règles de bonne conduite…

Nostalgie payante…

Notre saison ayant démarré sur les chapeaux de roue, la confrérie des gorets frétillaient d’impatience avant cette nouvelle bataille. La preuve : même Quentin et Flo Gallaire étaient présents 30 minutes avant l’heure du rendez-vous… De plus, Lawrence faisait son grand retour après 18 mois à recoudre son talon d’Achille et à martyriser des figurines porcines pour confectionner notre fameux trophée. Seuls manquaient le barbu vexé de son plaquage subi à Pouchet, Dufaure retenu avec sa marmaille, Philippe Toinard sur la piste du Beaujolais Nouveau, Fred vrp d’Opinels auprès des hôtesses du salon de l’auto et Antoine Chambaz empêtré dans ses équations.

Après l’échauffement coutumier c’est à dire improbable et éparpillé, Captain Franky rassembla la horde et sortit sa botte secrète : il en appela aux souvenirs de l’Argentine, à la vaillance manifestée face à ces teigneux et habiles carnivores de la pampa. Les esprits s’évadèrent aussitôt vers ces asados victorieux et les Andes frémissantes dans l’aube d’une nuit caliente. Par la magie du verbe, Vincennes devint un barrio de Buenos Aires et les corps en sudation s’offrirent aux embruns d’Iguazu…

En fait, notre chef de harde, dans sa perspicacité habituelle, avait tout de suite décelé le danger du jour : comme le dira plus tard un anonyme, les postiers étaient tous comme notre captain mais en plus grands et en plus gros ! Il lui importait donc d’hypnotiser la troupe au plus vite pour qu’elle ne s’enfuît pas devant le déséquilibre pondéral et sculptural…

Ce fut une réussite totale !

Dès l’entame, les gorets chétifs retournent les bibendums sur leurs frêles épaules, se ruent sur les déblayages et font voltiger la balle vers les ailes du désir. Les postiers pachydermiques rendent l’âme devant ces feu-follets. En 30 minutes, Champion pointe au paradis deux fois et Zanca parachève une valse à mille temps au panthéon de l’intelligence situationnelle.

19 à 0 ! Les postiers cherchent le cimetière des éléphants pendant que Xav slalome entre leurs pattes chancelantes !

L’arbitre siffle la trêve et el présidente Marco jette ses babouches en hurlant : Viva Argentina ! Viva Viejos Chanchos !

Ultimes soubresauts…

Aveuglé par sa propre réussite, Captain Franky en perd sa lucidité. A l’heure des citrons et des oranges, il en oublie deux préceptes pourtant éculés ; le pachyderme déploie un surplus de puissance juste avant son trépas ; et un goret heureux se pâme devant sa queue turgescente…

Ainsi, sur le coup d’envoi, l’imposant 8 charge sur des porcelets qui devisent encore de leur montée érectile. 50 mètres plus loin, la bête s’affale, mais, après quelques mêlées et pénalités, les moribonds pointent dans l’en-but en choisissant la voie la plus courte : tout droit dans l’axe.

Rebelote 5 minutes plus tard. 12-19 ! Les gorets débandent mais le reflux de sang leur permet d’approvisionner à nouveau leur cervelet.

- Captain ? On fait quoi maintenant ?

- Ben, on fait comme au début ! On reprend le tango et on remet la main sur la fesse de la danseuse !

Les danseuses d’en face avaient beau posséder 35 kilos de lard dans chaque fesse, ça a fonctionné ! Les porcins ont repris courage, stoppé les charges et entrepris leur fameux pas de 3 qui étourdissaient leurs vis-à-vis. Xav y a rajouté un zeste de samba, un échange de capoeira et 10 minutes de caipirinha sur la plage derrière la craie.

Les pachydermes croyaient s’être débarrassés de leur mouche tsé-tsé. Ils pensaient reprendre leur charge héroïque et revenir au score. Rentré en 10, Quentin leur asséna la mise à mort ! Avec son art avéré pour la passe juste et précise (n’en déplaise à Zanca…), il lança Titi à hauteur. 40 mètres et un cadrage-déb sur l’éléphant d’arrière garde ! 12 – 26 ! Les mammouths étaient rôtis et les porcelets pouvaient regagner les vestiaires sur leur béquille.

Bilan comptable.

0 essai pour Flo Gallaire : sa coiffure n’était pas dans l’air du temps, l’herbe n’était pas synthétique et il s’était échauffé.

1 genou dans le sac de Nico Keller : 1 beau guerrier en kit chez Giriat.

2 babouches perdues.

2 murmures dans l’assistance : deux tampons de Titi.

2 trois-quarts dans les regroupements : 1 carton jaune et 1 Corbier d’Or.

3 feintes de mains de Xav : 15 postiers dans le vent.

4 calzones de Jean-Mi ; 8 de Toto : 1 belle cohérence technique.

50 cochons vaillants ou historiques qui baisent le groin de notre cher Chris : viva Argentina ! C’est surtout pour toi !


Votre pizzaiolo et impact-rédacteur.

lundi 11 octobre 2010

classement

1 CENTRALE PARIS ANCIENS 10 ...... 90
1 S C U F ..................................10 ......... 46
3 R C VINCENNES.....................9 ........ 34
4 R C VELIZY ............................8 ......... 16
4 C ATH ORSAY........................ 8 .........10
6 PARIS UNIVERSITE..............6.......... 8
7 BRITISH RFC PARIS............. 5 .........-10
7 ANTONY SPORTS.................. 5 ............ 24
7 CLUB SPORTIF DES PTT....... 5 ..............-2 1
10 MDDA SPORT....................... 1 ..............-20
10 RUGBY CELLOIS................. 1 .............. -42
12 A S AEROPORT.....................0 ...............-46
12 ATHLETIQUE P.S.A............ 0 ............-51
12 VIE AU GRAND.................... 0 ................ -57

vieux cochons VS CLUB SPORTIF DES PTT PARIS RUGBY














jeudi 7 octobre 2010

San Martin

Ne reculant devant aucun sacrifice, notre t’chi de Capitaine Franky s’est rendu jusqu’à Boulogne sur Mer pour se recueillir devant la demeure d’exil du général San Martin père de la nation argentine.

Il s’est fait le messager de la nation porcine infiniment reconnaissante envers nos hôtes sud-américains.

Les gorets songent également à élever une statue à Violetta qui a eu le courage d’épouser Nico Corcia et d’organiser ce séjour inoubliable. On s’interroge encore pour déterminer laquelle de ces deux initiatives était la plus inconsciente…

Compte rendu du match du 2 octobre 2010 par notre plume et demi de mélée Philippe Toinard

COMPTE – RENDU N°1 : VIEUX COCHONS DU SCUF – AEROPORTS DE PARIS

Score : 39 - 7
Terrain : pas bougé depuis l’an passé
Pelouse : en pleine forme
Température : totalement inconstante
Supporters : des femmes et des enfants d’abord
Participants : le compte est bon
Capitaine : Franck Honoré puis Yann Lavoir
Points : 6 essais (Gallaire 2, Keller 2, Champion et Amon), 3 transformations (Toinard 1, Zanca 2), 1 pénalité (Toinard).
Homme du Match : Manu Enriquez pour sa 40e saison.
Corbier d’Or : Zanca pour n’avoir pas su récupérer une splendide passe de Quentin.

Souvenir, souvenir…

Lors de notre périple en Argentine, j’ai consigné les phrases les plus mythiques prononcées à jeun ou complètement bourré par certains membres de cette illustre équipe. On se souviendra de « 3 nains n’ont jamais fait un géant » de Denis B, « Y’a très peu de pays moches à part a Belgique » de Florent G, « Je ne suis pas hypocondriaque mais vieux » de Manu E. Mais celle qui illustre parfaitement ce début de match contre nos amis bagagistes, c’est incontestablement celle de Denis B adressée à Florent G avant un match à la frontière du Chili « Tout ce que l’on te demande, c’est de marquer des essais et de fermer ta gueule ». Il faut croire que Florent a parfaitement assimilé cette missive argentino-printanière car à peine entré sur le terrain, il en plante deux à la vitesse de l’éclair, bien aidé en cela par une ligne de 3/4 qui prend un malin plaisir à l’envoyer sur orbite dès que c’est possible. 7 + 5 + 3 = 15 à 0, un score qui nous rappelle notre dernier match contre ces mêmes bagagistes quelques jours avant notre départ en Argentine qu’un volcan que l’on croyait éteint aurait pu nous faire manquer. 15 à 0, c’était le score au printemps dernier mais en faveur des bagagistes à la mi-temps de ce match que nous gagnerons finalement 17 à 15. Nous sommes une poignée à y avoir pensé samedi dernier. Et si l’histoire se répétait mais dans l’autre sens ? Que nenni, les Cochons nouvelle saison ont dominé outrageusement du groin cette première mi-temps sifflé sur le score de 27 à 0.

Haché Carpentier

Si le score paraît aisé, le match ne le fut pas autant que ça, car il fallu aux 30 compétiteurs présents sur le terrain assimiler les nouvelles règles expliquées par l’arbitre aux débuts des hostilités. Mais faire comprendre de nouvelles règles à des joueurs dont le cerveau reste sur la touche, ce n’est pas chose facile. Je ne vise personne, tout le monde est concerné. Du coup, ce fut un match haché et le coût du sifflet du dit arbitre fut à la fin du match largement rentabilisé. Evidemment, impossible de compter le nombre de pénalités des deux côtés, le nombre de coups francs, le nombre de mêlées, moi aussi je laisse mon cerveau au vestiaire, mais les trois réunis se comptent par paquet de douze. Les mêlées permettent cependant aux 3/4 de se mettre en valeur. Impériaux en défense, sublimes en attaque, nos 3/4 ont très souvent vu le ballon ce qui n’est pas le cas de Cris Nivoix qui m’avouera le soir autour d’un risotto au safran maison l’avoir eu entre les mains que sur les lancers de notre pizzaïolo en chef, Jean-Mi.

En face ?

L’équipe a considérablement évolué. C’est un peu comme dans les équipes de rugby de la Police, on ne retrouve pas les mêmes d’une année sur l’autre. Surtout, ils sont beaucoup plus disciplinés que l’an passé. Pas un mot plus haut que l’autre, pas un début de boîte à gifles, pas de mauvais geste. Bref, de l’ADP nouvelle version bien plus agréable que leurs prédécesseurs. Mais moins joueurs aussi. A part leur 8 au physique de Tuilagi et leur 12 tonique sur lequel, ils ne s’appuient pas assez, ils ne nous ont globalement pas posé de problèmes. Oh certes, ils marquent un essai absolument pas valable car prince de crabe alias Yann Lavoir était dans l’en-but avec son adversaire et lui avait chipé le ballon avant qu’il n’aplatisse mais vu le score, nous n’allions pas protester d’autant que l’arbitre n’était pas du genre à écouter les lamentations de début de saison.

Et les Cochons du début de saison ?

On notera le retour de Xavier Amon qui n’a pas oublié de faire une démonstration à nos adversaires de samba dans nos 22 mais pas que. Quentin qui a éclaboussé de sa classe les attaques de 3/4 mettant dans l’embarras ses partenaires incapables de suivre le rythme et de ne pas dégueuler des ballons pourtant superbement vrillés et envoyés à hauteur. La légendaire discrétion de Nicolas Keller à qui la paternité lui fait pousser des ailes pour marquer à deux reprises. Le score nul et vierge de Titi (notre meilleur marqueur de l’an passé) totalement dépassé par ses deux plus coriaces adversaires au table d’affichage, Mathieu C et Florent G. L’absence remarquée de Denis B, il devait sans doute avoir tennis ou piscine. Le soutien remarqué de Stéphane D et Ronan H présents sur le bord de touche et évidemment le premier Corbier d’Or attribué à Zanca complètement à la ramasse, le nez dans le gazon alors qu’un essai tout fait s’offrait à lui sur une énième action de classe internationale de Quentin. Ah pardon, et évidemment, notre président dictateur et ses kilos en moins fumant clope sur clope gueulant entre chaque bouffée « hors jeu le 3, depuis le début ».

C'est tout pour aujourd'hui et bonjour chez vous.

Philippe Toinard

lundi 4 octobre 2010

1er Corbier de la saison 2010-2011

A l'unanimité du Conseil des Très Vieux Cochons, le premier Corbier d'Or de la saison a été attribué à Zanca.

Les faits :

A 30 mètres de la ligne d'enbut adverse, Quentin se retrouve balle en main face un dilemne : il doit négocier un 5 contre 1. Ses 4 partenaires extérieur l'appellent avec véhémence ! Vexé qu'on ne respecte pas son libre arbitre, il reprend l'intérieur de l'unique défenseur et fonce sur l'arrière.
Il s'aperçoit alors que son partenaire le plus proche est Zanca. Pris de compassion pour son tout petit camarade, il décide de ne pas tenter la feinte de passe finale pour ne pas recueillir seul les lauriers de l'action.

Il prend le temps de s'appliquer et ajuste une somptueuse passe vrillée adaptée à la taille de Zanca : précisement à 8,73 cm d'altitude.

Malheureusement, le Zanca, conscient de l'offrande, imagine déjà la danse carioca qu'il va entamer avec Xav pour célébrer son essai !!! Il mentalise un pas de deux avec roulement de hanche mais en oublie les fondamentaux : il ne rentre pas dans le ballon et le dégueule lamentablement...

Les aéroportiers évitent ainsi les 40 points et le présomptueux Zanca s'autoflagelle en buvant du Perrier au Roiduc...

Cela ne console pas le généreux Quentin, mais lui permet de noyer sa peine avec une double dose de houblon.

jeudi 9 septembre 2010

reprise

Cochons


L'heure de la reprise a sonné.




Le Championnat reprend le 2 octobre 2010; match contre ADP à la maison (je vous mets le calendrier en PJ).
Pour être bien administrativement, il nous faut tous refaire une licence.


Pour bien faire, vous me renvoyez un mail, avec OUI ou NON sur votre reprise avec les Cochons.


Suite à ce message, je vous renverrai un document à faire tamponner par un médecin.
Vous me remettrez :
- ce document rempli et signé par vos soins
- signé par le médecin
- 1 photo d'identité
- 1 chèque de 220€ l'ordre du SCUF RUGBY
Avec ce dossier complet on pourra faire faire la licence auprès de la FFR.


Pour info, Kiki, le Doc du SCUF sera présent à Pouchet, les mardis 7 et 14 septembre et les jeudis 9 et 16 septembre.
J'y serai aussi..


En effet les entraînements ont déjà repris et sont à nouveau les Mardi et Jeudi...






Sinon le 24 septembre pourrait être une bonne date pour faire une bouffe ensemble; non?


A+ les filles

Marco
SCUF
Vieux Cochons