CR N°3 : A.S. ADP Roissy - SCUF Vieux Cochons
Samedi 13 octobre 2012 à 15h
Samedi 13 octobre 2012 à 15h
Score : 10 - 19
Cadre : vous imaginez un immense échangeur de 2 fois 2 voies entre champs céréaliers, zone industrielle et bout de piste de Roissy… et bien, le terrain de nos hôtes est exactement au milieu ! Au milieu de nulle part ! Tellement nulle part qu’il n’existe aucune adresse précise, ni coordonnées GPS : « Route cd 212 » est la seule indication que peut donner le site de la FFR… On ne peut repérer le terrain qu’avec Google Earth mais après plusieurs heures de recherche. Autant dire qu’après une partie sur ce terrain gras, battu par les vents et rasé par les 747, on finirait par trouver un charme champêtre à notre cher Rousié…
Temps : apocalyptique !!! Ciel noir, vent violent, pluies orageuses… mais
quand même continuelles pendant 80 minutes : la saucée cessa d’ailleurs
dès le coup de sifflet final…
Participants : on tourne, on tourne, on tourne ! Chez les gorets, cette année, c’est le temps de la valse ! Sur 22, 11 nouveaux présents par rapport à la semaine précédente ! Rentraient Maxou Hospital, Vince de Tarlé, Roch Poletti ( on peut pas toujours y échapper… ), Benoît Juery 8 ans après son dernier match scufiste, Zanca remis de son entorse au moral du 6/10 (non seulement il avait dû laisser sa place au dernier moment, mais en plus c’est Pascalou Augé qui avait ainsi pu revenir sur la feuille de match… ), Antoine Chambaz, Thib Daz, Fred Laplaze, Phil Toinard, Fab Pillu… et, initialement, Steph ‘Gros Con’ Durand qui eut le malheur de croiser une machine à jambon vendredi soir à l’apéro. Résultat, du sang sur le Bayonne, un surnom de plus en plus mérité et… le Pig Chief qui y voit l’opportunité rêvée de s’immiscer sur le terrain… jusqu’à ce que la charmante ( oui, oui… ) arbitre me déclare que, étant seul dirigeant, je n’aurais le droit de jouer… qu’à condition que les 6 autres remplaçants décèdent… Décidément, je le trouve de plus en plus con ce Durand…
Participants : on tourne, on tourne, on tourne ! Chez les gorets, cette année, c’est le temps de la valse ! Sur 22, 11 nouveaux présents par rapport à la semaine précédente ! Rentraient Maxou Hospital, Vince de Tarlé, Roch Poletti ( on peut pas toujours y échapper… ), Benoît Juery 8 ans après son dernier match scufiste, Zanca remis de son entorse au moral du 6/10 (non seulement il avait dû laisser sa place au dernier moment, mais en plus c’est Pascalou Augé qui avait ainsi pu revenir sur la feuille de match… ), Antoine Chambaz, Thib Daz, Fred Laplaze, Phil Toinard, Fab Pillu… et, initialement, Steph ‘Gros Con’ Durand qui eut le malheur de croiser une machine à jambon vendredi soir à l’apéro. Résultat, du sang sur le Bayonne, un surnom de plus en plus mérité et… le Pig Chief qui y voit l’opportunité rêvée de s’immiscer sur le terrain… jusqu’à ce que la charmante ( oui, oui… ) arbitre me déclare que, étant seul dirigeant, je n’aurais le droit de jouer… qu’à condition que les 6 autres remplaçants décèdent… Décidément, je le trouve de plus en plus con ce Durand…
Spectateurs : Iznogoud Lawrence ayant été kidnappé par ses benjamins à Vaucresson,
seul le fidèle Oliv « Dracul » Bejannin avait bravé les éléments pour
invectiver ses gorets préférés.
Capitaine : Francky Honoré naturellement… qui, étonnamment, s’est montré encore plus obséquieux que d’habitude avec l’arbitre…
Points : 2 essais de Thomas Schwartz, 1 de Zanca et 2 transformations de Mister Juju « golden left foot » Schwartz
Corbier d’Or : déjà, c’était un tout nouveau trophée puisque l’ancien a été attribué à vie à feu président Marco Langlois. Confectionné par les mains expertes de Raspoutine Lawrence, il s’agit d’une couronne constellée de magnifiques cochons en plastique d’origine contrôlée ! Un must que tout goret voudra coiffer dorénavant ! En tout cas, les nominations furent pour Pascalou, Quentin, Xavon et Zanca : rien à voir avec le fait que ce furent les 4 qui débarquèrent dans le vestiaire à 15h03… Quoique… De toute façon le Comité des Séniles ( Fred, Dracul et the Pig Chief ) l’attribua haut la main à… Xav ! Expliquons : depuis trois mois, le poète guerrier soudoie son nouveau chef de harde pour jouer à l’aile et à l’arrière c'est-à-dire dans les contrées de sa lointaine jeunesse loin des zones décisionnaires où il excelle pourtant… Le chef, compatissant avec son ouvreur nostalgique, lui octroie ce jour le 11. Or, à la 71ème, quand il réceptionne sa seule balle du match avec un superbe décalage… il rentre intérieur, fait 1,32 mètre, choit sur son séant et pousse la balle n’importe où dans le dos de ses soutiens… Xav Amon puceau à vie du nouveau Corbier !
Capitaine : Francky Honoré naturellement… qui, étonnamment, s’est montré encore plus obséquieux que d’habitude avec l’arbitre…
Points : 2 essais de Thomas Schwartz, 1 de Zanca et 2 transformations de Mister Juju « golden left foot » Schwartz
Corbier d’Or : déjà, c’était un tout nouveau trophée puisque l’ancien a été attribué à vie à feu président Marco Langlois. Confectionné par les mains expertes de Raspoutine Lawrence, il s’agit d’une couronne constellée de magnifiques cochons en plastique d’origine contrôlée ! Un must que tout goret voudra coiffer dorénavant ! En tout cas, les nominations furent pour Pascalou, Quentin, Xavon et Zanca : rien à voir avec le fait que ce furent les 4 qui débarquèrent dans le vestiaire à 15h03… Quoique… De toute façon le Comité des Séniles ( Fred, Dracul et the Pig Chief ) l’attribua haut la main à… Xav ! Expliquons : depuis trois mois, le poète guerrier soudoie son nouveau chef de harde pour jouer à l’aile et à l’arrière c'est-à-dire dans les contrées de sa lointaine jeunesse loin des zones décisionnaires où il excelle pourtant… Le chef, compatissant avec son ouvreur nostalgique, lui octroie ce jour le 11. Or, à la 71ème, quand il réceptionne sa seule balle du match avec un superbe décalage… il rentre intérieur, fait 1,32 mètre, choit sur son séant et pousse la balle n’importe où dans le dos de ses soutiens… Xav Amon puceau à vie du nouveau Corbier !
Homme du
match : Durand pour avoir permis au match de se dérouler
dans un esprit loyal… On aurait aussi pu décerner cet honneur à Thomas
Schwartziniggor, mais il pourrait l’être à chaque fois, alors c’est lassant…
Surtout lorsqu’il te déclare à la 78ème minute après une course
folle de 60 m « Tu vois, c’est là que je sens que je vieillis. Je me sens
un peu las. Il me faut une trentaine de secondes pour reprendre mon souffle… »
22 à… 15h17
Les deux dernières visites à Roissy s’étaient soldées par deux matchs similaires. Une mauvaise entame porcine, un gros débours à la mi-temps et une remontée héroïque et victorieuse… Le tout à chaque fois sous la pluie et le vent…
Donc, fort de ces expériences, Captain
Francky échauffa et motiva ses troupes avec un soin particulier. C’eut été
parfait… si une bonne partie du troupeau ne s’égayait pas encore sur les pistes
de Seine et Marne. Xav, Zanca et Pascalou paradaient dans leur véhicule aux
couleurs de Pétrole Hahn, Steph Dedenis tambourinait sur son GPS et Quentin De
Tarlé, lui, tournait depuis 55 min à portée de vue du terrain, incapable de
faire le lien avec les 4 grandes perches qu’il ne cessait de voir… Quant à Nico
Valenzuela, il était parti à 14h53 d’Alésia pour arriver 3 min avant… Quentin…
Bref, au coup d’envoi, l’ailier Xav
ressemblait à Thib, l’arrière Zanca à Roch et le troisième ligne Nico était le
sosie Lolo Crochet… Quant à Pascalou, il ressemblait à Augé, vu que, par
principe, il commence derrière le banc… pour vomir…
Le bordel ambiant sied volontiers aux
porcelets. L’entame fut finalement convenable. Malgré un fort vent de face,
nous jouions essentiellement chez eux grâce quelques avancées rectilignes et un
jeu au pied parfait de Mister Rugby alias Juju.
Et, à la 18ème, derrière sa mêlée,
sur les 22, Schartziniggor décide de partir… seul. Le banc gueule : « Quelle
connerie ! Attends les autres ! ». Thomas persiste. Il tape à
suivre. « N’importe quoi ! En plus, y’s’débarasse du ballon ! ».
Thomas lance ses échasses folles, grille tout le monde et aplatit… Alors, le
banc… et, ben… il va chercher le tee…
Bien sûr, 3 minutes plus tard, deux doubles
sautées face au vent, un ballon qui choit sur nos 40… et un aéropostier qui ose
le ramasser et filer tout seul à dame !
5-7. Francky rameute la troupe mais coach
Jean Mi vient d’effectuer ses 6 premiers changements ( sur 86 ) et plus
personne ne connait les consignes. En tout cas, Pascalou se couche 3 fois sur
les rucks en 1 min 30 et ressort aussitôt 10 min avec un blanc !...
Délesté d’un goret, les VC s’enflamment moins
et jouent enfin à l’endroit. A tel point qu’après la seule action collective
patiemment construite, les cochons se retrouvent avec un décalage 3 contre 0 à
40 mètres. Schwartzy met les cannes et choisit le 1 contre 0 pour devenir le
meilleur marqueur des old pigs cette année. 5-12 aux citrons.
Mister Météo
Lors du toss, Captain Francky hésitait pour
choisir son camp. Mais, arriva Lolo Météo ! Crochet affirma avoir consulté
toutes les données météo et savoir que le vent resterait aussi fort toute la
journée. « T’es sûr Lolo ? C’est des pluies orageuses. Par nature c’est
instable. – Sûr. C’est scientifique ! Qui plus est j’ai ma rotule qui
grince ! Fais confiance à Lolo… Lolo météo, c’est une rime riche non ?
». C’est ainsi que Francky choisit de commencer contre le vent violent… et
constata à la mi-temps que celui-ci était totalement… tombé !
En dépit de cet aléa atmosphérique, les
gorets reprirent sur de bonnes bases malgré les nouveaux changements chaotiques
du simili coach. Ils investirent le camp adverse et, à 56ème, Zanca
héritait de la balle au 40 mètres sur l’aile, recentrait au pied pour prendre
tous les adversaires de vitesse et aplatir son essai traditionnel sans une
seule passe dans tout le match. Juju transformait et, à 5-19, le sort de la
partie semblait plié. Il ne restait plus qu’à aller chercher le point de bonus
offensif…
Las, s’en suivit une litanie d’en avants de
passe et de mains. Les aéropostiers purent revenir chez nous. Et marquer à
nouveau sur leur seul point fort : le jeu groupé debout. La partie s’effilocha
dans une suite de maladresses.
Il faut dire que Maxou ne valida le pari de
Jean Mi de le voir jouer toute la partie. Perclus de crampes à la 61ème,
il laissa les gorets sans lanceur véritable. Et les cochons perdirent ainsi
leur meilleure rampe de lancement.
La partie s’acheva dans une pénombre apocalyptique
avec des joueurs transis d’humidité. On put donc laisser rentrer Pascalou pour
les 5 dernières minutes de désordre… et le chef d’œuvre de Xavon, ailier des
ténèbres.
Vivement samedi prochain… sur notre moquette accueillante
et sous le soleil permanent de Pouchet.
Pour rester fiers, stupides et magnifiques.
N.B. : certains noteront que le compte
rendu du second match de championnat arrive alors que le précédent n’est pas
encore paru… De mauvaises langues laissent propager l’information que le
rédacteur aurait perdu la mémoire de quelques évènements ce samedi 6 à sa
sortie tardive du Roi du Café. Ce ne sont que des calomnies que ce dernier fera
taire très bientôt en en narrant les circonstances…
Fred Laplaze avec notre nouveau drapeau de touche...
Les retardataires...
On caille mais dans la joie et la bonne humeur...
Schwartziniggor vient de marquer son second essai.
Dracul subit les affres de ceux qu'ils vitupèrent...
Nico quoi....
La solitaire de l’exilé volontaire...
Le scoreur et... l'escroc...
The New Corbier by Lawrence
Les retardataires...
On caille mais dans la joie et la bonne humeur...
Schwartziniggor vient de marquer son second essai.
Dracul subit les affres de ceux qu'ils vitupèrent...
Nico quoi....
La solitaire de l’exilé volontaire...
Le scoreur et... l'escroc...
The New Corbier by Lawrence
1 commentaire:
R1.
Et en ce qui concerne mes 38mn 55 secondes de bonheur à visiter la ZAC de la Feuchère, la ZA de la Feuchère, les terminaux secrets de Roissy et j'en oublie, c'est quand même un peu l'histoire du GPS qui se fout du conducteur! Extrait de la bande son:
Moi: Jean-mi je suis rue Jean Mermoz dans la ZAC de la Feuchère (lieu d'arrivée exact du plan), j'ai fait le tour et je trouve rien.
L'enfoiré de GPS: Heu... T'es prêt de quoi?
M: Des entrepôts -bip- et -bip-.
L'enfoiré de GPS: Heu... Je connais pas la zone par coeur. Tu vois les toits verts du tennis? (Situé en fait à 1km de là dans une autre zone industrielle)
M: Non, je sais pas, y a que ça des putains de toits verts!
L'enfoiré de GPS: Bon ben tu cherches les toits verts du tennis, et c'est là. Je peux plus te parler là, je passe sous un tunnel avec l'arbitre...(Phrase que je n'ai décodée qu'après).
En plus en arrivant je me fais défoncer des yeux par tout le monde, et notamment Schwarzanitor (ce qui correspond quand même à un violent placage mental) pour mon retard.
Bref, sachez pour le prochain déplacement que mappy-Marco est de retour (pour ceux qui ont eu le bonheur de se perdre un jour avec les indications de notre ex-kayser).
Quentin
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