lundi 19 novembre 2012

CR n° 6 VC du Scuf - CS PTT Paris


COMPTE – RENDU N°6 : SCUF Vieux Cochons – CS PTT Paris
Dimanche 18 novembre 2012 à 11h30 à Max Rousié

Score : 17 - 24
Cadre : notre cher Rousié. Envahi par les marmailles noires et blanches de l’école de rugby. Les cieux sont lourds. Il pleut… des huitres… qu’aucun vieux cochon ne dégustera car, après notre match,  les bourriches étaient vides ! Heureusement qu’il nous restait le beaujolais !
Participants : comme d’habitude, le goret est taquin et imprévisible… A Drancy, il avait fallu racler le fond de la porcherie pour être 21. Et bien, là, ils étaient 32 à pouvoir jouer ! Quand on pense qu’il en restait encore une dizaine, blessés ou occupés ailleurs… Jean Mi, le dictateur ‘sélectionneur’, n’avait plus qu’à se dépatouiller avec cet enthousiasme ! Après un travail d’investigation acharné, Jean Mi, votre serviteur a pu se procurer les secrets de la composition de la liste des 22. C’est, en fait, une série d’équations à multiples inconnues : soit x  son affection pour chacun, soit y la quantité à chaque poste, soit z le nombre de bannissements précédents, soit r les futures absences de chacun, soit s les associations explosives et soit t une certaine tenue sportive… pondérées par une multitude de coefficients qui, le mercredi soir, permet d’obtenir les 22… à la courte paille !... sauf, pour les premières lignes qui, eux, par favoritisme de Jean Mi l’ex talon, ne tournent jamais… Du coup, le couperet est tombé pour Fab Pillu, Raph Andrieux, Raph Celso, Flo, Antonin, Matt Champion, Juju, Antoine Chambaz et, surtout, Thib et Manu qui laissent leur place pour la 2ème fois de la saison ! Cruel mais mathématique ! Scientifique ! Un travail d’orfèvrerie logique dont sont sortis gagnants Phil Dufaure, Max et Jérôme Hospitaux, Vania, Vinz, Greg, Steph Dedenis, Thomas, Valenzuela, Yann, Lolo Crochet, Vincent De Tarlé, Lionel, Roch, Phil Toinard, Xavon, Quentin, Ben Juery, Pascalou, Titi, Ronan Hénaf et Zanca ! La palme du plus veinard revenant tout de même à mister Juju Schwartz : banni le mercredi, le dictateur le contacte le jeudi pour arbitrer ! Et, le pire, c’est qu’il accepte !
Spectateurs : alors là, une scène jamais vue à Rousié de mémoire de très vieux gorets ! Environ 47 spectateurs et trois quart dans les tribunes ! Bon, d’accord, ils étaient venus pour les huitres, mais, quand même… Et puis, tous n’étaient pas très vaillants… Pour preuve, Rémy Charousset avoua « être agréablement surpris par le niveau de jeu du match des VC ». C’est dur de vieillir… On perd vraiment de la vision et de la pertinence de jugement…
Capitaine : Zanca, encore. On ne change pas une formule qui perd. De toute manière, le vrai captain, Franck profitait de sa soi-disante entorse et de sa soi-disante récente paternité pour épuiser le stock d’huitres tranquillement au chaud dans l’algéco…
Points : 2 essais de Yann, 1 de Titi Suire et 1 transformation de Zanca.
Corbier d’Or : initialement, le dictateur tenait absolument à le décerner à Lolo Crochet, qui, en arrivant aux vestiaires, lui annonce, avec candeur, que, depuis jeudi, son genou est niqué et qu’il ne pourra certainement pas jouer… quand on sait qu’il y a 6 autres troisièmes lignes bannis qui rongent leur frein… Seulement, le comité du Corbier est une junte démocratiquement cooptée et le Jean Mi doit aussi parfois céder aux choix des autres séniles… Du coup, der Grosse Kayser Busson fut récompensé par ce trophée ultime : à la 68ème minute, les cochons retrouvent de l’allant. Le match peut enfin basculer en leur faveur. Yann ramasse le ballon, traverse le pack adverse, aplatit… mais l’essai est annulé par le vigilant LCA… pour écran de Lionel… à cause d’un mouvement de bras vengeur sur le 8 adverse ! Tournant fatal du match…  En plus, le 8 a fini la partie…
Homme du match : bon, on va pas mettre Greg Guénot à chaque fois. En plus, c’est plus facile d’être vu quand tu déplaces plus d’air ! Non, the Most Valuable Pigplayer fut Yann. On ne sait pas si c’est l’iode des huîtres morbihannaises, mais le breton frustre fut tout simplement intenable. Et, surtout, en ce jour de désordre général de notre jeu, il fut le seul à reprendre l’axe et les choses simples… comme Greg…

Générosité
Lorsque mon double despotique rédigeait la feuille de match avec le dirigeant des postiers, je lui présentai notre Juju national, condamné par Lettre de Cachet, à arbitrer le rencontre. L’homme sourit aussitôt « Ah oui. J’m’rappelle bien de lui. Il est blessé ? Même pas ! Ben dis donc, ça nous arrange ! Parce que, les dernières fois qu’il a joué contre nous, il nous a sacrément baladés avec ses diagonales du fou… ». Je me suis bien gardé de lui préciser qu’en plus, le Juju est d’une probité exemplaire et qu’il ne risquait pas de nous avantager… En tout cas, j’ai aussitôt été saisi d’un doute sur l’efficacité de ma sélection scientifique…
Le match commença comme d’hab : on roupillait ! En plus, manque de bol, ces postiers étaient vraiment toniques et rapides ! Bon, les VC s’arrangeaient quand même pour ne pas encaisser de points et, à la 11ème minute, on lançait la première attaque digne de ce nom. Un mouvement dans le zig, le suivant dans le zag, le troisième dans le vague et… la balle choyait… pour un adversaire qui n’avait plus que 60 mètres de vide pour s’affaler chez nous ! Rageant. Mais on revenait chez eux quelques minutes après. Cette fois-ci, sur la mêlée à 5, on relevait le ballon autour, maul et Yann s’arrachait pour égaliser !
La ligne de conduite semblait claire. Fort de nos golgoths Greg et Vinz en seconde ligne, on devait pilonner l’axe et avancer à moindres risques.
Du coup, on choisit de jouer… à droite, à gauche, à plat et, surtout, de faire des passes au contact… Reconnaissants, les postiers attendirent tout de même que nos gorets jouent à la baballe sur nos 10 mètres pour nous la voler sur un ruck et négocier habilement… un 6 contre 1. 5 à 12. Mi-temps. Morose.

Utopie
Heureusement, la concertation collective permettait de remettre les choses en place. 46ème : balle à l’aile, à l’autre aile, la vie est belle… la balle à terre… et l’on offrait 70 mètres de parade… au 11 adverse ! 5-19. Les conditions idéales pour un exploit digne des Cochons ! Du genre ‘à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire…’ et autres maximes stupides dont raffolent les porcelets lorsqu’ils ont la queue basse…
Là, quand même, les gorets réagirent ! Yann confisqua systématiquement le ballon et la passe devint interdite ! Du coup, les postiers ne revirent plus la balle jusqu’à l’ultime coup de sifflet !
A la 63ème, Yann accepta quand même un fermé pour Titi sur les quarante. L’équarisseur de Pouchet tapa par-dessus et… oh surprise !... pour la première fois de sa carrière… réussit son coup de pied pour le rattraper et éclater les 2 derniers défenseurs. 12-19. L’exploit se dessinait…
Puis, à la 68ème, Yann aplatit mais… Lionel alluma…
A la 72ème, sur la ligne médiane, dans le fermé, Vincent de Tarlé et Lionel attaquent avec ardeur un ballon en or… se percutent… et laissent l’ailier ramasser l’objet et s’envoler sur 55 mètres… 12-24
Yann aura beau fendre le pack adverse pour marquer notre 3ème essai à la 77ème, on n’accrocha pas l’égalisation. Les postiers pouvaient jubiler : c’était la première fois qu’il nous battait depuis toutes ses années. Leur détermination était récompensée.
Seule petite suspicion : depuis le temps, on était habitués à des postiers de type « secrétaire du scuf » au galop avec sa canne. Or, cette fois-ci, nous avons joué des facteurs que personne n’a jamais vu aussi véloces jusqu’à nos boîtes à lettres. Y aurait-il des ultralibéraux infiltrés au sein de nos enviées PTT antillo-cégétistes ?

Oh rage…
Bon, c’est dur quand même de jouer les philanthropes distants quand on perd deux matchs de suite ! On a beau se dire que le résultat est accessoire chez les VC, qu’on joue pour s’amuser, que le match était beau et que c’est ça le plus jouissif…
Déjà, on trouve toujours que les autres étaient plus cons, plus moches et moins méritants que nous…
Et puis, c’est surtout rageant de s’apercevoir que, malgré notre immense maîtrise technique, on commence à être un peu court au-delà de la 12ème phase de jeu…

Mais, l’avantage d’Alzheimer, c’est qu’on oublie vite… 
Jean Mi, délateur et affabulateur
 Après avoir magnifiquement appris son métier de 2ème ligne à nos côtés, Steph prend sa première leçon d'écailleur.
 Thomas et Phil Dufaure, nos VC à l'EDR !

 Jérôme éducateur !?! Comme quoi, rien n'est impossible !...
 Nico Keller et Captain Papa Franck fomentent la razzia sur la snouf du Morbihan...


 Même notre LCA est plus classe que ceux des autres !




 Il ne restait plus que du vin... Alors Law s'est encore dévoué...
 Il en rêvait !!!

 Ronan de retour avec Matt le banni qui est quand même venu...
 Lolo vous présente la nouvelle sous marque Dacia pour le marché grec, portugais, irlandais, espagnol et, bientôt, français...
Marco est heureux ! C'est bien un match le dimanche ! Il peut quitter sa boutique de pinard pour s'occuper de quelque chose d'autre...

dimanche 11 novembre 2012

CR n°5 Drancy - Vieux Cochons du SCUF


R.C. Drancy - SCUF Vieux Cochons 
Samedi 10 novembre 2012 à 15h

Score : 33 - 14
Cadre : vous prenez Rousié ; vous remplacez le périph par une voie ferrée ; vous ajoutez quelles barres à loyer modéré en plus : et vous avez l’environnement bucolique et typique de cette « banlieue rouge ».  Ajoutez-y une grande tribune en béton, une belle pelouse bien grasse, un ciel gris et lourd et vous obtenez le prototype parfait du match d’hiver dans nos séries régionales franciliennes. Ces matchs où les ailiers ne rêvent que du clubhouse à 17h après une douche bouillante… Ça tombe bien : Drancy en possède un magnifique dissimulé sous ses tribunes ! La bière y est à la bonne pression, le buffet bien garni et les autochtones forts accueillants.
Participants : c’est la faute à Hollande !!! C’est à cause de la Gauche si, malgré 45 licences VC, nous nous retrouvons seulement 21 gorets sur la feuille de match ! Reconstitution du génocide perpétré par ces Salauds de Khmers Rouges : sous l’ère béni de St Nicolas Bruni, les vacances scolaires d’automne ne duraient que 10 jours ; or, sur cette base, le samedi 10/11 était hors vacances et le CIFR, dans sa grande sagacité, y avait prévu une journée de championnat. Las, au printemps, les urnes sont bourrées à Drancy et à Montreuil, et, horreur et damnation !, le 15 mai 2012, les bolcheviks investissent l’Elysée ! Première mesure dès le 16 : récompenser les feignasses de profs en leur offrant 5 jours de vacances supplémentaires en novembre ! Patatras ! Le CIFR, lui, ne peut se retourner assez vite à cause de son taux d’arthrite et d’armagnac… et les Vieux Cochons doivent jouer le 10 novembre malgré leur marmaille éparpillée aux quatre coins de l’hexagone (cf le cours de géométrie de mes enseignants trotskystes) ! Exit Thomas, exit Yann, exit Valenzuela, exit Captain Franck, exit Guénot, exit Vinz, exit Vania, exit Doudou… Tiens… que des gros (ou assimilés…) !... Bizarre !... N’y aurait-il qu’eux qui se reproduisent ?... Ou alors, peut-être que, sous leur large carcasse, ils cachent un cœur tendre et crédule apte à céder aux pressions de madame, de leurs bambins, de maman, voire de belle-maman… A contrario, les fourbes tarlouzes de derrière sont-elles, par nature, plus rétives à l’autorité matriarcale ?... Voilà, un sublime sujet de thèse !... En tout cas, notre pack était un peu léger en adipeux… et la semaine fut cruelle : élongation au mollet de Jeannie Corbier Longo, dos bloqué pour Ben Juery… et Fred Laplaze qui se noie sous sa chaudière ! La cata ! L’infâme dictateur Jean Mi en profita même pour se sélectionner ! Sur le radeau de la Méduse, apparaissaient donc Max Hospital, Toto Bouteilly, Phil Dufaure, Steph Dedenis, Antoine Chambaz, Manu, Durand (101 ans à eux deux), Thib Dazemar, Roch, Juju, Flo Gallaire, Quentin De Tarlé, Gérôme Sonois, Matt Champion, Zanca, Vince De Tarlé, Jean Mi, Laurent Olivé, Antonin Landolfi, Raph Andrieux… et même… Der Grosse Kayser Lionel, the come-back !!!
Spectateurs : aucun, vu que maintenant on a recyclé Olive Dracule Bejannin en dirigeant officiel ! D’aucuns s’inquiètent que ses insultes soient encore plus audibles depuis le banc… Déjà, ce ne sont pas des insultes ! Ce sont des conseils techniques personnalisés traduits en langage imagé à l’intention de joueurs à la limite de l’apoplexie neuronale… Et surtout, il est quand même le seul à payer un forfait annuel à 280€ seulement pour nous voir jouer… En tout cas, avec Lawrence, il y avait 3 dirigeants chez les VC ! Et ça c’est du jamais vu, parce que, chez les VC, ceux qui ont l’âge d’être dirigeant s’imaginent quand même un avenir de joueur !
Capitaine : Zanca, bien sûr. En effet, quand le match sent mauvais, le vrai capitaine, Franck, se désiste toujours opportunément. Alors, que Zanca, lui, il pense encore que c’est une marque de reconnaissance… voire d’amour…
Points : 1 essai de Zanca, 1 de Roch et 2 transformations de Juju.
Corbier d’Or : attribué haut la main à Juju qui cumulait pas moins de 3 citations ! 1ère : a failli à en venir aux mains pour calmer Manu ; bon « failli » parce que c’est Juju quand même ; mais, quand on connait le calme et la pondération de Manu, faut le faire… 2ème citation : sur un placage subi et mollasson, pousse un cri de pucelle effarouchée… Et, surtout, la 3ème magnifiquement représentative de Mister Rugby himself : à la suite d’un avant adverse, le ballon roule jusqu’à ses pieds ; Juju ne daigne pas se baisser et voit un adverse plonger dessus ; bien sûr, tout à chacun lui hurle qu’il devait se jeter sur la gonfle… ce à quoi Juju rétorque, qu’en situation d’avantage pour nous, il serait stupide de salir sa belle tunique… c’est vrai qu’on était déjà mené 33 à 7 et que rien ne pressait…
Homme du match : initialement, par décret présidentiel, ce titre devait revenir d’office à un certain Busson. Or, le goret n’étant pas légaliste, nous préférâmes élire un certain Ioio le Rouge. Entré à la 21ème, soi-disant handicapé aux adducteurs (coquetterie personnelle…), il s’envoya tant et si bien que l’on ne vit que lui sur la ligne de front. Seule ombre au tableau : malgré de louables tentatives, il ne réussit jamais à engendrer une générale…

Cervicales
Les VC gardaient un souvenir cuisant de Drancy. C’est ici que, par une froide soirée d’hiver, ils avaient perdu de peu le premier match de leur saison précédente. Souvenir d’un match âpre et tendu. Autant dire qu’il y avait de la revanche dans l’air. D’autant plus que notre hôte avait fait la sourde oreille à nos demandes de reporter le match au 24…
Malheureusement, le temps que les cochons se réinventent un collectif, les drancéens profitaient d’une belle organisation. Ils conservaient bien la balle autour de leur solide pack et, dès la 8ème minute s’affalaient dans notre en-but sur la charge utile de leur gros nounours de pilier. En plus, sur le coup, il compressait les cervicales de Gérôme se jetant tête la première pour un placage désespéré. La morale de Zanca sur ce coup : « Quand le mec fait 160kg, qu’il passe entre l’ouvreur et le 1er centre à 2 m de la ligne, tu lèves les bras, tu gueules que c’est la faute de Juju et de Quentin et… tu préserves tes vertèbres ! » Quoi qu’il en soit, en 2 matchs de championnat, le Sonois il cumule 13 min de temps de jeu effectif… (ça aurait presque mérité un Corbier d’Or… ) Et, pendant ce temps-là, Matt Champion souriait benoitement… Ben Juery le dos en compote, Gérôme les cervicales soudées au coccyx, le voilà qui repassait à son poste de prédilection de second centre ! Il ne regrettait vraiment pas ses séances vaudou avec ses poupées numéro 13 et ses aiguilles…
La harde porcine réagissait bien un peu mais ne conservait pas suffisamment la balle pour inquiéter les adverses. Heureusement que le vent était avec nous et permettait à Juju d’éloigner le danger grâce à ses puissantes ogives. A la 21ème, Vincent l’obus et le Rouge teigneux rentraient pour redonner un nouveau souffle. Ce qui n’empêchait le second essai adverse sur un fermé derrière une mêlée aux 22. 12 à 0 à la 32ème. La note était salée mais méritée.

Money time
32 minutes, c’est le temps pour s’échauffer et s’organiser. Les autres le font avant le match. Les gorets le font pendant…
Du coup, on revient chez eux, on enchaîne mieux, on devient plus agressif et, à la 38ème, les drancéens se mettent hors-jeu à 10 mètres de leur ligne face aux poteaux. Coach Dracule hurle d’assurer les 3 points. Donc, Roch joue… à la main. Olive éructe. Puis se ravise… quand la balle arrive dans les mains de Zanca qui envoie 5 défenseurs à droite pour rentrer à gauche et se vautrer en terre promise. 12-7. Les citrons sont moins amers.
Bien sûr, au deuxième acte, la tâche se complique contre le vent. Malgré une résistance maintenant plus consistante, les drancéens campent chez nous… les 35 premières minutes… Cela peut paraître un peu déprimant, mais les cochons eurent le mérite de défendre courageusement leur ligne, ne cédant que 2 fois. Le porcelet n’est pas toujours brillant, mais toujours vaillant !
Et puis, comme le déclara Gros Con Durand, dans les vestiaires, devant la troupe fourbue et boueuse : « On est les rois du money time. Les champions des 5 dernières minutes. On joue à la perfection les toutes fins de mi-temps ! ». Effectivement, à la 77 ème, les VC revirent enfin les 40 adverses. Et, grâce à la perspicacité de Juju qui préféra la mêlée au bain de boue, Roch finit dans l’en-but après de beaux enchaînements et malgré la pluie d’apocalypse qui s’était soudain abattue.
Alors, GC a bien raison. La défaite, elle devient sublime si on s’en fabrique un beau souvenir. Parce que, comme disait notre regretté compère Thierry Potier, l’important, après le match, c’est une bonne mousse et… une petite pipe… 

Jean Mi, joueur clandestin et rapporteur nostalgique






 Et le Corbier est attribué à :
 Juju !
 Ça va aussi très bien à la 3ème génération des Schwartz scufistes...
Captain Zanca, Roch and Steph Dedenis refont le match et la philosophie...