mercredi 24 octobre 2012

CR n°4 : SCUF Vieux Cochons - M.B.D.A.


SCUF Vieux Cochons – MDBA
3ème journée du championnat des Clubs du Samedi 2ème div
Stade Max Rousié Samedi 20 octobre 2012 14h

Score : 50-3
Température
 : Pas d’été indien cette année
Pelouse
 : permet au vieux de gagner 5 ans
Participants
 : 22 élus à l’heure et chanceux car les coulisses de la sélection furent mouvementées…..
Spectateurs
 : Dracul, conseiller du président, Jean-mi sénior père du  président, le père de l’arbitre
Capitaine
 : Franck honoré, Puis Roch, Puis Durand (Edouard a raté une bonne occasion de prendre le capitanat une seconde fois…).
Essais
 : 8 (Zanca 2, Champion, Olivé, Dufaure 2, Guénot et ENRIQUEZ !!!!) 
Transformations
 : 5 (Julien S. 4, Toisnard 1) 
Pénalités
 : Interdit par F. Honoré
Homme du match
 : L’arbre, la machine, l’homme et demi, le Golgoth : Greg Guénot
Corbier d’Or
 : Stéphane Dedenis : normal, il est le seul à passer au roi du café sans avoir joué pour prendre des nouvelles de ses potes ! Ca valait bien une récompense
L’adversaire : Adversaire vaillant mais faible qui a eu le bon goût de perdre des joueurs clés rapidement pour finir décimé et donc étrillé en seconde mi-temps
Le match : 20 minutes sérieuses (3 essais dont un refusé injustement à l’ouvreur et deux occasions nettes vendangées par notre Champion parce qu’il a du cœur et qu’il ne faut pas démobiliser l’adversaire trop tôt….), 20 minutes ennuyeuses (avec beaucoup de touches et de fautes stupides de notre part qui nous ont permis de voir le botteur adverse échouer 4 fois sur les tentatives de pénalité), puis 40 minutes convaincantes d’envolées d’avants, d’arrières et d’enchaînement avant-arrière avec 6 essais et 2-3 autres oubliés en route.
L’après match : Bref mais intense, le président ayant, chose nouvelle, un train à prendre….
Prochaine Station : DRANCY. Le moment de vérité sur terrain gras où il faudra jouer juste et ranger les pêchés mignons au placard….

Cette semaine le résumé s’effectue à travers les joueurs :

Franck Honoré : une activité énorme à la Dusautoir pendant un quart d’heure avant d’être victime d’une belle entorse. Dommage. Et une absence potentiellement longue…la voie du capitanat s’ouvre pour Edouard !
TOTO bouteilly : notre TOTO s’est fait refiler sans le savoir les mains en bois de Champion qu’il avait utilisé y’a 15 jours contre PSA. Du coup en touche on a souffert. Mais Toto s’est rattrapé dans le travail obscur (voir Dufaure) avec en complément des charges au ras qui ne sont pas passées inaperçues
Phil Dufaure : performant dans le travail obscur que représente la poussée dans les mauls, le placage et le nettoyage de ballon. Pénalisé plusieurs fois comme un débutant pour levé de pied avant introduction à cause d’un demi de mêlée farceur et d’un arbitre tatillon.
Antoine Chambaz : terrorisé par le rendement de son compagnon de deuxième ligne et de peur d’être immédiatement comparé à lui, a profité de la blessure de Frank Honoré pour s’enfuir avec lui à l’hôpital…n’a jamais reparu ; un avis de recherche a été lancé samedi vers 15h40
Greg Guénot : LA prestation du match ; chambaz en cavale, Greg a pu et du montrer pendant 80 minutes toute l’étendue de son talent. Des charges monumentales, des raffuts avec des pistons dans les bras, des placages désintégrant et quelques finesses avec des passes et un ou deux crochets perdus au milieu de cette démonstration de puissance. Souvenirs, souvenirs….
Résultat : un essai au ras en faisant un Strike avec le pack adverse, des fixations permettant de négocier des 8 contre 4, des concassages d’adversaire dans les mauls et donc 4 joueurs adverses renvoyés sur le banc, l’épaule enfoncée, la jambe tordue, le cheville grinçante, la tête comme une pastèque…
C’est sûr que venant de fédérale 3, le contact physique a semblé plus aisé pour notre versaillais.
Vous auriez du le voir tel un bucheron canadien empilant les fagots, un boucher embarquant son cochon pour l’éventrer, un Rankor avalant un garde de Jabba (référence uniquement pour les fans de star wars…), prendre les joueurs adverses et les retourner. Le tout pour ensuite se rentrer aussitôt le match fini dans sa contrée royale fêter l’anniversaire de sa fille Jade…si c’est pas mimi tout ça ! Greg devient émouvant…
Manu Enriquez : belle prestation de Manu ; peu de déchet, un essai au ras digne d’un flanker anglais (beurk…) et une belle présence en défense.
Thib’ d’Azemar : plus à l’aise à l’aile du pack qu’à l’aile tout court ; notre prof d’art plastique en zone difficile a été nettement plus en vue que la semaine dernière ; s’il avait réussi sa passe à Roch sur une action de 80 mètres, on lui aurait refilé les 100 points qui lui manquent pour aller enseigner à Henri IV l’année prochaine…Tant pis
Durand : prestation de grande classe avec des départs en huit d’une propreté à rendre jaloux T. Schwartz et Yann Lavoir
Roch : Don Poletti a géré les affaires du pack et les lancements de jeu aux arrières comme un centre de tri hypermoderne de Chronopost. Tout est arrivé au bon endroit et à l’heure…
Il s’est quand même gardé des petits côtés bien juteux où chaque fois nous avons échoué à quelques mètres de la terre promise….
L’ouvreur : a raté trois transfo faciles, tapé un renvoi direct pour une relance qui nous a coûté LES trois points, tapé une chandelle de 50 cm de longueur,  a confondu placage avec la moule accroché sur le porteur du ballon…A tenté néanmoins de s’inspirer du jeu de Xavier Amon pour animer l’attaque porcine.
TITI : prestation mitigé de notre TITI qui n’a pas marqué d’essai et a oublié de jouer avec ses copains mais qui par contre a du obliger 3 adversaires à prendre rendez vous dès le lundi matin avec un Ostéo pour des douleurs vives à l’épaule et aux côtes….
Juery : Benoit a parfaitement assuré ses transmissions et sa défense avec en prime un petit par dessus récupéré par Champion qui malheureusement avait décidé de ne marquer qu’un essai ce jour.
Et comme d’hab’ le premier arrivé et le premier à avoir quitté les vestiaires, lavé ses pompes, plié ses affaires et nettoyé la partie du banc où il était assis…salut Benoit..Ah
Champion : un essai au bout de 4 minutes, deux autres oubliés en chemin mais superbe travail de transmission notamment sur un des essais de zanca. C’est normal il avait refilé ses mains en bois à TOTO !
Olivé : a la conclusion d’un essai d’école merveilleux en décalage et en bout d’aile, a eu ensuite peu de ballon pour s’exprimer. C’est l’effet casque….
Zanca : Notre transalpin a marqué deux essais et fut passeur sur au moins 3 autres (dont un refusé). Tout est dit sur l’importance de sa prestation même si pour rendre hommage à son confrère dégarni il a tenté une demi douzaine de passes vissées de plus de 10 mètres qui ne sont pas toutes arrivées à destination…
Max hospital  et Jejeh hospital : Les deux frères Hospitaux (le seul nom de famille qu’on a le droit de décliner au pluriel au SCUF) ont fait montre de leur haute technicité sur les postes de première ligne. Un travail d’orfèvre transmis de père en fils et d’oncle à neveu, façonné au gré des évolutions tactico-stratégique des 30 dernières années.
Avec , d’un côté des lancers en touche qui arrivent à destination, des ballons volés en mêlées proprement, des ballons mis au fond du maul rapidement tout aussi proprement, et de l’autre des peel-off à faire pleurer Jacques Fouroux des percussions avec le ballon sous l’autre bras, des rucks imperturbables pour assurer une libération de balle idéal pour le demi de mêlée, des portés en en touche au timing parfait…
Ha c’est bô…
Bon c’est vrai les années s’accumulant le tout est effectué avec la touche « ralenti » enfoncé mais quand même…
Nico Valenzuela : notre mustang de la pampa a brisé toute les velléités adverses au ras et est devenu sur de nombreuses attaques, au choix notre troisième ailier, notre deuxième arrière, notre troisième centre. Bref il était partout, partout, partout….
Phil toisnard : notre « Masterchef » de la mêlée a effectué une prestation d’une très grande sobriété, bref, l’équivalent de la bavette-échalote-pomme pont-neuf servie dans toute les brasseries parisiennes mais bien cuite, avec une échalote bien découpée et cuivrée par une cuisson juste et des pommes de terre sautée pas trop sèches (je dis n’importe quoi, j’y connais rien mais bon vous voyez le genre !).
Cedric Dijon : le cocu de la rencontre! Il n’a touché que deux ballons et en plus dans ses 5 mètres et dans son en-but et a passé son temps à plaquer : bref un match digne d’un centre anglais des 70’s !
Raph Celso : Alors Raph’,il a été lui l’ailier anglais des 70’s : Le super-cocu: quasi pas une balle et quand il en a eu une c’était un sac de patate envoyé en panique par le masterchef avec obligation de le dégager fissa ! Mais bon comme les ailiers anglais de l’époque, bonne présence défensive !
Arnaud Corbier : Arnaud a joué sobrement et attend finalement le retour de Gallaire pour retrouver la fantaisie qui l’habite et qui nous fait frémir de peur ou de surprise.

by Juju  Schwartz
 Titi les épaules prêtes à l'équarrissage juste devant le juvénile mais excellent arbitre.
 Dracul analyse et Iznogoud Law commente juste avant de partir avec ses minimes.
 On va lâcher la harde de gorets !
 Les gazelles aérodynamiques !
 Et oui, la transfo va passer ! Comme quoi, Juju se sert aussi bien de son pied gauche que de sa plume... Quant à sa langue...
 Captain Francky nous quitte la cheville gauche en berne ! Snif... Qu'il nous revienne vite !
 Le juvénile Manu en chef de meute porcine !
 Non, ce n'est pas une image des années 90 ! C'est bien le retour de Jejeh Hospi !

 Le pack rose n'a cessé d'avancer !
 Là, on vient de sortir Zanca pour qu'il arrête de s'affaler dans l’en-but ! Déjà qu'il vient de voler un essai à Nico Valenzuela qui avait fait tout le boulot et n'avait plus que 10 m à faire sans opposant...
 Le mini Dufaure déjà à l'école de rugby scufiste ! La relève est assurée !
 Jejeh Hospi toujours aussi hypocrite...
 Le rédacteur débriefe déjà intérieurement le match en vue de sa chronique...
 Au Roiduc, le cadeau du Captain qui, s'il est parti à l'hosto, est désormais présent au travers du fumet de son merveilleux fromage chti... Le Roiduc est d'ailleurs fermé depuis pour raisons sanitaires....
 La gérontocratie s'amuse...
 Steph Dedenis, qui était "banni', a eu le bonheur de passer par là...
 Douze ans les sépare... mais la connerie porcine les rassemble...
L'analyste pourrit la charnière...

dimanche 14 octobre 2012

CR n°3 : AS ADP Roissy - SCUF Vieux Cochons

CR N°3 : A.S. ADP Roissy - SCUF Vieux Cochons
Samedi 13 octobre 2012 à 15h


Score : 10 - 19
Cadre : vous imaginez un immense échangeur de 2 fois 2 voies entre champs céréaliers, zone industrielle et bout de piste de Roissy… et bien, le terrain de nos hôtes est exactement au milieu ! Au milieu de nulle part ! Tellement nulle part qu’il n’existe aucune adresse précise, ni coordonnées GPS : « Route cd 212 » est la seule indication que peut donner le site de la FFR… On ne peut repérer le terrain qu’avec Google Earth mais après plusieurs heures de recherche. Autant dire qu’après une partie sur ce terrain gras, battu par les vents et rasé par les 747, on finirait par trouver un charme champêtre à notre cher Rousié…
Temps : apocalyptique !!! Ciel noir, vent violent, pluies orageuses… mais quand même continuelles pendant 80 minutes : la saucée cessa d’ailleurs dès le coup de sifflet final…
Participants : on tourne, on tourne, on tourne ! Chez les gorets, cette année, c’est le temps de la valse ! Sur 22, 11 nouveaux présents par rapport à la semaine précédente ! Rentraient Maxou Hospital, Vince de Tarlé, Roch Poletti ( on peut pas toujours y échapper… ), Benoît Juery 8 ans après son dernier match scufiste, Zanca remis de son entorse au moral du 6/10 (non seulement il avait dû laisser sa place au dernier moment, mais en plus c’est Pascalou Augé qui avait ainsi pu revenir sur la feuille de match… ), Antoine Chambaz, Thib Daz, Fred Laplaze, Phil Toinard, Fab Pillu… et, initialement, Steph ‘Gros Con’ Durand qui eut le malheur de croiser une machine à jambon vendredi soir à l’apéro. Résultat, du sang sur le Bayonne, un surnom de plus en plus mérité et… le Pig Chief qui y voit l’opportunité rêvée de s’immiscer sur le terrain… jusqu’à ce que la charmante ( oui, oui… ) arbitre me déclare que, étant seul dirigeant, je n’aurais le droit de jouer… qu’à condition que les 6 autres remplaçants décèdent… Décidément, je le trouve de plus en plus con ce Durand…
Spectateurs : Iznogoud Lawrence ayant été kidnappé par ses benjamins à Vaucresson, seul le fidèle Oliv « Dracul » Bejannin avait bravé les éléments pour invectiver ses gorets préférés.
Capitaine : Francky Honoré naturellement… qui, étonnamment, s’est montré encore plus obséquieux que d’habitude avec l’arbitre…
Points : 2 essais de Thomas Schwartz, 1 de Zanca et 2 transformations de Mister Juju « golden left foot » Schwartz
Corbier d’Or : déjà, c’était un tout nouveau trophée puisque l’ancien a été attribué à vie à feu président Marco Langlois. Confectionné par les mains expertes de Raspoutine Lawrence, il s’agit d’une couronne constellée de magnifiques cochons en plastique d’origine contrôlée ! Un must que tout goret voudra coiffer dorénavant ! En tout cas, les nominations furent pour Pascalou, Quentin, Xavon et Zanca : rien à voir avec le fait que ce furent les 4 qui débarquèrent dans le vestiaire à 15h03… Quoique… De toute façon le Comité des Séniles ( Fred, Dracul et the Pig Chief ) l’attribua haut la main à… Xav ! Expliquons : depuis trois mois, le poète guerrier soudoie son nouveau chef de harde pour jouer à l’aile et à l’arrière c'est-à-dire dans les contrées de sa lointaine jeunesse loin des zones décisionnaires où il excelle pourtant… Le chef, compatissant avec son ouvreur nostalgique, lui octroie ce jour le 11. Or, à la 71ème, quand il réceptionne sa seule balle du match avec un superbe décalage… il rentre intérieur, fait 1,32 mètre, choit sur son séant et pousse la balle n’importe où dans le dos de ses soutiens… Xav Amon puceau à vie du nouveau Corbier !
Homme du match : Durand pour avoir permis au match de se dérouler dans un esprit loyal… On aurait aussi pu décerner cet honneur à Thomas Schwartziniggor, mais il pourrait l’être à chaque fois, alors c’est lassant… Surtout lorsqu’il te déclare à la 78ème minute après une course folle de 60 m « Tu vois, c’est là que je sens que je vieillis. Je me sens un peu las. Il me faut une trentaine de secondes pour reprendre mon souffle… »

22 à… 15h17
Les deux dernières visites à Roissy s’étaient soldées par deux matchs similaires. Une mauvaise entame porcine, un gros débours à la mi-temps et une remontée héroïque et victorieuse… Le tout à chaque fois sous la pluie et le vent…
Donc, fort de ces expériences, Captain Francky échauffa et motiva ses troupes avec un soin particulier. C’eut été parfait… si une bonne partie du troupeau ne s’égayait pas encore sur les pistes de Seine et Marne. Xav, Zanca et Pascalou paradaient dans leur véhicule aux couleurs de Pétrole Hahn, Steph Dedenis tambourinait sur son GPS et Quentin De Tarlé, lui, tournait depuis 55 min à portée de vue du terrain, incapable de faire le lien avec les 4 grandes perches qu’il ne cessait de voir… Quant à Nico Valenzuela, il était parti à 14h53 d’Alésia pour arriver 3 min avant… Quentin…
Bref, au coup d’envoi, l’ailier Xav ressemblait à Thib, l’arrière Zanca à Roch et le troisième ligne Nico était le sosie Lolo Crochet… Quant à Pascalou, il ressemblait à Augé, vu que, par principe, il commence derrière le banc… pour vomir…
Le bordel ambiant sied volontiers aux porcelets. L’entame fut finalement convenable. Malgré un fort vent de face, nous jouions essentiellement chez eux grâce quelques avancées rectilignes et un jeu au pied parfait de Mister Rugby alias Juju.
Et, à la 18ème, derrière sa mêlée, sur les 22, Schartziniggor décide de partir… seul. Le banc gueule : « Quelle connerie ! Attends les autres ! ». Thomas persiste. Il tape à suivre. « N’importe quoi ! En plus, y’s’débarasse du ballon ! ». Thomas lance ses échasses folles, grille tout le monde et aplatit… Alors, le banc… et, ben… il va chercher le tee…
Bien sûr, 3 minutes plus tard, deux doubles sautées face au vent, un ballon qui choit sur nos 40… et un aéropostier qui ose le ramasser et filer tout seul à dame !
5-7. Francky rameute la troupe mais coach Jean Mi vient d’effectuer ses 6 premiers changements ( sur 86 ) et plus personne ne connait les consignes. En tout cas, Pascalou se couche 3 fois sur les rucks en 1 min 30 et ressort aussitôt 10 min avec un blanc !...
Délesté d’un goret, les VC s’enflamment moins et jouent enfin à l’endroit. A tel point qu’après la seule action collective patiemment construite, les cochons se retrouvent avec un décalage 3 contre 0 à 40 mètres. Schwartzy met les cannes et choisit le 1 contre 0 pour devenir le meilleur marqueur des old pigs cette année. 5-12 aux citrons.

Mister Météo
Lors du toss, Captain Francky hésitait pour choisir son camp. Mais, arriva Lolo Météo ! Crochet affirma avoir consulté toutes les données météo et savoir que le vent resterait aussi fort toute la journée. « T’es sûr Lolo ? C’est des pluies orageuses. Par nature c’est instable. – Sûr. C’est scientifique ! Qui plus est j’ai ma rotule qui grince ! Fais confiance à Lolo… Lolo météo, c’est une rime riche non ? ». C’est ainsi que Francky choisit de commencer contre le vent violent… et constata à la mi-temps que celui-ci était totalement… tombé !
En dépit de cet aléa atmosphérique, les gorets reprirent sur de bonnes bases malgré les nouveaux changements chaotiques du simili coach. Ils investirent le camp adverse et, à 56ème, Zanca héritait de la balle au 40 mètres sur l’aile, recentrait au pied pour prendre tous les adversaires de vitesse et aplatir son essai traditionnel sans une seule passe dans tout le match. Juju transformait et, à 5-19, le sort de la partie semblait plié. Il ne restait plus qu’à aller chercher le point de bonus offensif…
Las, s’en suivit une litanie d’en avants de passe et de mains. Les aéropostiers purent revenir chez nous. Et marquer à nouveau sur leur seul point fort : le jeu groupé debout. La partie s’effilocha dans une suite de maladresses.
Il faut dire que Maxou ne valida le pari de Jean Mi de le voir jouer toute la partie. Perclus de crampes à la 61ème, il laissa les gorets sans lanceur véritable. Et les cochons perdirent ainsi leur meilleure rampe de lancement.
La partie s’acheva dans une pénombre apocalyptique avec des joueurs transis d’humidité. On put donc laisser rentrer Pascalou pour les 5 dernières minutes de désordre… et le chef d’œuvre de Xavon, ailier des ténèbres.
Vivement samedi prochain… sur notre moquette accueillante et sous le soleil permanent de Pouchet.
Pour rester fiers, stupides et magnifiques.

N.B. : certains noteront que le compte rendu du second match de championnat arrive alors que le précédent n’est pas encore paru… De mauvaises langues laissent propager l’information que le rédacteur aurait perdu la mémoire de quelques évènements ce samedi 6 à sa sortie tardive du Roi du Café. Ce ne sont que des calomnies que ce dernier fera taire très bientôt en en narrant les circonstances…

Jean Mi, coach et délateur aléatoire
 Fred Laplaze avec notre nouveau drapeau de touche...
 Les retardataires...



 On caille mais dans la joie et la bonne humeur...

 Schwartziniggor vient de marquer son second essai.
 Dracul subit les affres de ceux qu'ils vitupèrent...
 Nico quoi....
 La solitaire de l’exilé volontaire...

 Le scoreur et... l'escroc...
 The New Corbier by Lawrence